Le CICE est un tremplin vers la suppression des cotisations patronales, soit 7% à ce jour. Malheureusement c’est 7% sur les 45% nécessaires. Disons que la volonté y est. C’est donc 1/6e des mesures nécessaires, qui a le mérite d’exister.
Le CICE ne comporte toutefois aucune baisse des cotisations salariales. En cela, elle est proche de la réduction Fillon qui vient réduire les cotisations patronales des plus bas salaires.
Le CICE c’est d’abord un coût
On constate à l’évidence que le CICE n’est pas suffisant pour éradiquer le chômage. Il coûte pourtant 40 milliards à l’Etat chaque année sans contrepartie efficace pour résoudre le problème sur l’emploi et ne permet pas non plus la relance économique.
C’est bien normal. Pourquoi ? Parce que la mesure fait partie des mesurettes qui coûtent aux finances de la nation mais qui ne permet pas de relancer la machine économique.
Ce que nous proposons avec le Plan TRES – de transfert de toutes les cotisations sociales vers le budget de l’Etat, ne coûtera rien, ni à l’Etat, ni aux consommateurs, et ne créera aucun déficit supplémentaire. Nous avons chiffré cette proposition.
Comment arriver à un tel résultat ? Nous changeons totalement la manière de raisonner sur le financement de la Sécurité sociale.
La TVA sociale c’est d’abord une augmentation du pouvoir d’achat
En premier lieu les avantages.
- Le pouvoir d’achat progressera de 23 à 33% malgré la hausse de la TVA et de la CSG.
- Le chômage sera totalement éradiqué. Nous retrouverons enfin le plein-emploi. Des entreprises ne fermeront plus grâce à l’augmentation de leur chiffre d’affaires et de leur profit.
Le CICE, pour sa part, est une bonne idée toutefois trop compliquée qui entraînent de nombreux rouages coûteux. Le plan TRES, c’est la simplicité, l’efficacité, sans le moindre coût pour l’Etat. Ce n’est qu’un transfert de compte à compte de 240 milliards sur le budget de l’Etat totalement financé et totalement indolore pour les Français, qu’ils soient employeurs, salariés, retraités, fonctionnaires…
Le plan TRES peut être mis en application immédiatement. C’est un avantage considérable pour les salariés qui n’auront plus besoin de mutuelles santé ou autres systèmes qui leur sont fort coûteux.
Pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple ?
Qui peut avoir intérêt à détruire l’économie de la France et ne rien faire aujourd’hui ? Ce ne sont pas les salariés, qui veulent la simplicité. Soyons clair, tous les acteurs de notre économie profiteront de ces nouvelles règles économiques, y compris le monde financier.
Pour Michel Leclerc : “Tout ceci n’est pas un rêve mais une réalité d’aujourd’hui et une vision qu’il nous faut transformer en réalité.”