Tout va bien madame la marquise

Les prix de l’électricité, du gaz, du fuel, des carburants ont progressé, cette année, de plus de 10%.

Le kilo d’abricots a été multiplié par deux, le kilo des cerises par quatre, à la même époque. Et la série continue et continuera. Il s’agit de 10 à 200% supplémentaires de tous les prix affichés.

Les Français sont, riches, ils ont de l’argent en Caisse d’Épargne, ils peuvent payer, il ne faut pas se plaindre : « il y a pire ». Il y a surtout chez nous 20% de chômeurs et de pauvres qui n’ont plus les moyens.

Oui, les Français sont riches mais ils oublient la dette qui va atteindre cette année entre 2 800 et 2900 milliards, y compris aides sociales.

Il n’y a jamais eu, dans notre Constitution, un tel accroissement de la dette. On se sert de la dette pour payer les erreurs sur le virus, pour payer les erreurs de stratégie ; l’épidémie a bon dos, on aurait pu l’éviter mais on n’a pas tout essayé et loin s’en faut.

Ce qui est dangereux, c’est que l’on risque de voir le château de cartes s’effondrer. Pour les grandes maladies, comme pour le virus, comme pour le cancer, on finit par s’y habituer, on refuse toutes les solutions naturelles pour y mettre fin alors que ces solutions-là sont disponibles tout de suite et quasiment gratuitement.

Nos scientifiques se sont pris pour des dieux en espérant trouver un remède miracle.

Ils ont trouvé un vaccin qu’on peut qualifier d’intermittent mais dont on ne sait pas, aujourd’hui, quelle sera sa force face au variant indien.

La solution que j’ai proposée est une certitude sans avoir a touché le corps humain, c’est l’éradication du virus, c’est la destruction de la construction des cancers. Mais on préfère vivre dans un rêve et l’on refuse l’évidence. A partir du moment où les solutions proposées ne sortent pas du domaine médical et scientifique, il ne faut même pas l’envisager.

J’ai connu un Président de la République qui, face au chômage, déclarait : on a tout essayé. Évidemment, c’était une erreur car on n’a jamais tout essayé ; on s’est simplement habitué.

Nous avons, nous Français, la fâcheuse habitude, au bout de quelques mois ou de quelques années, d’accepter l’irrémédiable.

On croit avoir la science infuse alors même que la nature nous propose un pacte qu’elle nous offre gratuitement. Bref, on finit par se satisfaire de la peur, de la mort, de la maladie, en refusant l’évidence. Vous allez me dire que je me répète. Je crois que c’est la seule solution pour arriver, un jour, à une vraie solution.

On aura vécu pendant x années avec 250 000 morts, chaque année, du cancer et probablement entre 50 000 et 100 000 décès par le virus.

A part cela, tout va bien Madame la Marquise !…

Je suis tout de même convaincu que Monsieur Macron, lui-même, se pose la question : faut-il continuer sur ce chemin de la mort des Français et, peut-être, de la France ? Je suis certain, d’ailleurs, que le Ministre des Finances n’est pas très fier de laisser une dette aussi violente mais il dira aussi : on a tout essayé ; c’est une manière comme une autre de se couvrir de ses errements.

Une France appauvrie, des Français qui continuent à avoir une peur effrayante, un quinquennat qui n’aboutit qu’à l’échec. Et il faudra choisir un nouveau Président, peut-être en pleine pandémie au mois d’avril, l’an prochain. Bien sûr, je ne souhaite pas que l’on se retrouve dans cette situation mais est-ce impossible ?… ou est-ce tout simplement une éventuelle réalité ?

ET POURQUOI VIVRE PLUS LONGTEMPS

parce que la France est notre mère
parce que la France a toujours su être un cas à part dans le monde
parce que, de la France, jailliront toujours des hommes exceptionnels pour défendre la vie de son peuple et prendre tous les risques nécessaires en conséquence.

Ce n’est pas un homme « qui sait tout » qu’il nous faut mais un homme qui sait que la vie est au-dessus de tout et qu’elle ne se brade pas. La vie a ses règles pour le meilleur et pour le pire. C’est à nous de prendre le meilleur et de détruire le pire.

Dans le domaine de la santé comme dans le domaine de la politique économique, il y a toujours des risques à prendre.

il existe toujours des solutions quand on veut respecter l’évidence.

Ce qu’il nous faut, c’est un homme qui s’occupe des Français et qui anticipe le futur pour leurs enfants. On ne recherche pas un bricoleur… on cherche un homme de la carrure d’un de Gaulle, et il en existe pour redonner à la France sa place dans le monde et pour que nous puissions vivre plus longtemps en décidant de mettre fin aux pandémies par l’éradication et aux cancers par la régulation atmosphérique.

Les scientifiques ont leur place pour chercher mais pas pour décider car il n’y a pas que les scientifiques qui soient capables d’innover, de découvrir, de constater et d’en tirer les conclusions.

Oui, je voudrais que l’on vive jusque 120 à 150 ans, en pleine forme, ce qui changerait beaucoup de choses dans l’économie. Vivre plus longtemps ce sera aussi travailler plus longtemps mais travailler sans maladie, sans cancer, c’est un bonheur.