Le pactole des frais de santé est fabuleux. Il est payé par les cotisations et par l’Etat, c’est-à-dire nous. Le pactole est de 300 milliards chaque année.
Réduire ce pactole de 100 à 150 milliards, chaque année, est mon combat par une seule méthode : éviter d’avoir à soigner, tout en vivant mieux.
Ce n’est que par la technique mécanique, ou électronique, ou technologique, que nous pourrons y parvenir en neutralisant les causes, les sources, les origines, les conséquences.
Des milliards sont actuellement dépensés pour rendre plus pure l’eau que nous buvons et de même l’air que nous respirons.
Il est curieux que nous ne fassions des dépenses que pour ce que nous ressentons ou que nous voyons. On oublie totalement l’invisible et le non-ressenti. On oublie de réguler les variations des pressions atmosphériques et de nous protéger de la puissance des flux magnétiques, terrestres, solaires et électriques.
Ces phénomènes ne sont pas ressentis mais ils sont beaucoup plus désastreux que les autres. En fait, pour les uns comme pour les autres, il faut accepter de maintenir les constantes à la valeur initiale qui est supportable par l’homme.
C’est tout l’intérêt du combat que je mène avec Hygée le régulateur mais aussi avec les éléments qui existent déjà tels que des sous-vêtements souples métalliques et anti-électromagnétiques.
Bien trop simples, me direz-vous ? Alors, utilisez-les pour vivre en pleine forme et très longtemps.
On ne peut, à ce jour, estimer les autres conséquences économiques qui en découleront.
Au secours !
Au secours ! Notre industrie, notre agriculture, notre école, notre culture, partent en lambeaux.
Nous allons être dépendants de tout dans moins de 50 ans. C’est aussi notre liberté qui s’évanouit.
On nous a beaucoup menti sur le climat, sur l’immigration, sur nos possibilités de produire et même sur notre défense. On s’est caché sous notre petit doigt, on se croyait les plus forts, les indispensables, les donneurs de leçon.
Pendant ce temps, les pays dits émergents sont devenus des leaders industriels mais aussi des pionniers en agriculture et en élevage. Le réveil va être difficile mais faut-il au moins savoir à quelle heure se réveiller…
Il faut donner aux Français une nouvelle santé, une nouvelle vie, un nouveau monde. Plus que jamais, il va falloir retrousser nos manches et accepter certaines conditions pour rebondir. Rien n’est perdu. Il faut seulement le vouloir et l’accepter.
On a pris des chemins tortueux alors que nous avions une autoroute naturelle qui nous permettait de combattre les effets de la nature si destructeurs.
Notre vie, depuis des siècles, s’est allongée. Aujourd’hui, il nous faut prendre le chemin de la doubler.
Le climatologue Marcel Leroux nous affirme que le climat ne s’adaptera pas à nous ; c’est à nous de s’y adapter. Il faut prendre tous les moyens pour en supprimer les effets néfastes.