Ce sont les coups de téléphone de Monsieur Macron à Monsieur Poutine qui ont été autant de coups de poignard pour une nation indépendante, souveraine, européenne dans l’âme, et qui ont constitué le coup de grâce de Monsieur Macron.
Jouer entre deux tableaux, avec la santé, avec l’énergie, avec l’armée, et développer le « vivre avec » maladies et virus, n’est pas une politique française. La soumission aux Conseils Scientifiques et aux monopoles ainsi qu’à la commercialisation de l’énergie, a mis la vie des Français entre parenthèses, sans un futur clair pour les jeunes et les Français en général.
Monsieur Macron est sous l’influence d’États dans l’État, de monopoles et de spéculateurs ; il est, en fait, la proie de l’argent. Bien sûr, il distribue quelques onces d’or comme autrefois nos rois à la sortie de l’église. Mais Monsieur Macron a oublié que ce sont ceux à qui il aura le plus donné en monnaie de singe qu’il retrouvera toujours sur sa route.
Le peuple de France ne veut pas de demi-mesures sans résultat, sans lendemain. Le peuple de France refuse que l’on joue à de Gaulle sans en appliquer son concept d’une France forte et respectée dans le monde.
Bref, tous se paie dans la vie et être entre le marteau et l’enclume peut faire très mal. Les demi-mesures sociales, sanitaires, économique, conduisent à l’échec et ont conduit à l’échec de Monsieur Macron.
Heureusement, dans tout échec, il y a une solution et heureusement pour Monsieur Macron qu’il y ait des Républicains qui, je le pense, feront payer à prix d’or le débauchage de personnalités de Monsieur Sarkozy à Monsieur Woerth en passant par Messieurs Philippe, Darmanin, Le Maire et autres. Les Républicains, les Gaullistes, seront là pour assurer un futur solide pour la France.
À ce jour, le social, le sanitaire et l’énergie sont autant d’échecs de la macronie :
- Pour le social, il faudra oser transférer toutes les charges sur le travail vers le budget de l’État ; c’était aussi une pensée du Général de Gaull e.
- Pour le sanitaire, pour votre vie, il faudra éviter, plutôt que de soigner : les causes ; les solutions existent.
- Pour l’énergie, il faudra s’engager dans la construction de 1 000 mini centrales nucléaires proches des centres de consommation. Il faudra nécessairement et obligatoirement, passer de l’uranium au thorium avec refroidissement à sels fondus ; c’est ce qui assurera notre indépendance, le thorium se trouvant sous nos pieds dans toute l’Europe.
- Il faudra reprendre fermement la solution de l‘hydrogène pour assurer aussi notre indépendance et ce sera par le moteur thermique à hydrogène.
Il est indispensable de faire valoir le coût du travail pour être compétitif.
La fin des monopoles, un nouveau financement du social, l’utilisation massive de l’hydrogène, la baisse massive des prix, nous conduira à des exportations multipliées par trois et à un accroissement de la consommation intérieure par la baisse des prix.
On doit mettre fin à l’insolence face à l’évidence, au bon sens et à une nature qu’il nous faut réguler et en éradiquer parfois la production tels que les virus.
Quant à notre position dans l’Ukraine, il faut donner 75% de tout le matériel militaire dont nous disposons, car c’est aussi notre guerre.
L’excellence
Nous souhaitons tous l’excellence pour nos enfants le tout est de déterminer ce qu’est l’excellence.
Est-ce sortir de l’ordinaire ou est-ce sortir major de polytechnique ? Est-ce se poser la question sur la vie, sur le travail, sur la santé, sur le social. Est-ce de pouvoir apporter à l’humanité les moyens de vivre dans l’excellence ? Est-ce de rechercher les raisons et les causes qui conduisent ou pas à la liberté et à la paix ainsi qu’au bonheur de tous ?
Est-ce se servir du passé pour nourrir un savoir ou est-ce plutôt d’utiliser le passé comme outil du futur ? Est-ce devenir riche ? Est-ce participer à un futur que l’on doit construire ? Est-ce devenir Président de la République ou roi d’un pays ?
Alors qu’est-ce donc que l’excellence ? C’est d’apporter son savoir pour sortir de l’ordinaire, fut-il invisible à nos yeux à ce jour. L’excellence, c’est oser prendre des risques et être formé pour cela, quitte à subir l’invective, voire l’opposition, voire la condamnation… mais qui deviendra, demain, la gloire et le succès.
L’excellence, est-ce savoir lire, écrire ou compter et est-ce refuser le récent et le futur, se contenter du passé, avec d’autres yeux, d’autres oreilles, d’autres d’analyses ou tout simplement accepter de se servir des possibilités que nous fournit la vie et arrêter de braver la nature ? Il faut arrêter de braver cette nature et il faut prendre dans cette même nature les moyens d’affronter ses dérives et ses excès.
L’excellence, c’est d’éviter d’avoir à soigner, c’est accepter ou tout du moins proposer de vivre plus longtemps, ce qui permettra les voyages nécessaires pour découvrir l’espace sidéral.
L’excellence, c’est d’accepter les micro découvertes des plus petites au plus grandes, sans que l’argent en soit la clef et surtout sans qu’un intérêt financier ne vienne bloquer ces découvertes.
L’excellence, c’est l’envie d’apprendre et de travailler dans l’intérêt général même s’il est nécessaire, parfois, de passer par l’intérêt individuel. L’or brille et rend aveugle.
Un futur beaucoup plus enrichissant, en définitif.
