La crise à l’hôpital ne provient pas d’un manque, ni d’infirmiers, ni de médecins, ni d’hôpitaux, mais du refus des politiques et des scientifiques de s’en prendre aux causes qui provoquent les surcharges à l’hôpital.
Je suis persuadé que la suppression des causes n’est pas une affaire médicale mais purement une affaire technique d’éradication et de régulation.
Les conseils scientifiques ne sont pas à la hauteur des solutions et encore moins des causes. Virus, cancers, maladies cardio-vasculaires ou pulmonaires, représentent 50% des entrées à l’hôpital. Ce n’est pas l’hôpital qui est la solution, c’est en amont de l’hôpital qu’elle se trouve et surtout en amont des prémisses d’un cancer ou d’un COVID, et des grandes maladies en général.
Les négligences du monde politique visent à imposer techniques et éradications, dans la peur des Conseils Scientifiques qui, en fait, ont pris le pouvoir, un pouvoir qui n’a plus rien à voir avec le serment d’Hippocrate et qui repose sur la folie de l’argent. Les conséquences sont à l’hôpital et provoquent aussi le déficit de la Sécurité Sociale. Les Français demeurent dans l’expectative et dans le doute.
La présence des médecins et des chirurgiens est nécessaire, mais eux aussi devront se baser, non plus sur ce qu’ils ont appris à la faculté, mais sur les conséquences des variations de la nature. Et cela, c’est le travail des techniciens et des architectes, et non des médecins.
En supprimant les causes des cancers et des virus, on réalise qu’il y a bien assez d’hôpitaux, bien assez d’infirmiers, bien assez de médecins mais surtout mal répartis sur l’ensemble du territoire : trop de médecins dans les villes, pas assez dans les campagnes.
Ce que je propose, c’est la bagatelle d’une économie de 100 milliards, chaque année, pour la Sécurité Sociale. Et, au-delà des conséquences financières et de la souffrance, c’est le moyen de conserver la totalité de son système immunitaire qui permettra une autre vie, sans la peur des maladies et de la vieillesse. La maladie et la vieillesse, on les supporte, bien vivre en pleine forme, c’est mieux.
Oui, cela nous obligera de vivre et de mettre en place un nouveau monde, si ce n’est pas maintenant, ce sera dans 4 ou 5 ans.
Le monde économique doit revoir ses tablettes rapidement et les politiques qui ne voudront pas accepter d’organiser ce nouveau monde devront changer de métier.
Être visionnaire, c’est la prévoyance pour la santé, pour les accidents de la route et du travail, et de la vie ménagère. C’est aussi la recherche des causes par le constat. Chaque défaillance, chaque problème a une cause qui doit être résolue avant d’en avoir à subir les conséquences désastreuses.
Le monde médical va devoir partager les moyens d’éviter, avec des moyens techniques qui ne sont pas médicaux mais naturels ou, plus exactement, eu égard aux défauts de la nature.
Apprendre à parler deux langues dès la maternelle
Apprendre à parler deux ou trois langues dès la maternelle, est nécessaire dans le cadre de la mondialisation. Et, aujourd’hui, parler des langues et plus nécessaire que de savoir lire, compter ou écrire. Je pense que le parler est plus efficace que l’écriture, le calcul ou la lecture.
Demain, on parlera et la machine transcrira. Demain l’ordinateur calculera pour vous. Parler plusieurs langues en plus du Français ouvre la porte à l’industrie, au commerce mais aussi à la culture.
Demain, on lira un livre simplement avec un scanner et des écouteurs. L’ordinateur sera conçu de telle manière qu’il évitera toutes les fautes d’orthographe.
L’école de demain doit donner l’envie d’apprendre avec des professeurs qui se seront aussi affranchis des techniques modernes mais encore plus des constats que nous fournit la nature, en bien et en mal.
Oui, il faut aussi apprendre, à l’école, à être quelque peu visionnaire à 30 ou 50 ans du futur. Apprendre à lire, à compter et à écrire, est aujourd’hui une perte de temps face à la mondialisation mais aussi au bon sens qui permettra, par le constat, de vivre une vie de merveilles.