Et si notre gouvernement revenait à l’essentiel de sa mission

A force de refuser l’essentiel, c’est l’essentiel qui disparaît. Pour un patron, pour un chef d’Etat, un membre du gouvernement, l’essentiel est de conserver le fil conducteur afin de transmettre l’énergie nécessaire.


Le ventre législatif, selon Honoré Daumier

On ne peut pas jouer avec l’essentiel et l’essentiel, c’est d’abord la liberté, le pouvoir d’achat, l’équilibre, la démocratie.

Un patron, un chef d’Etat, doivent toujours être le porte-drapeau de l’essentiel.

Ni l’un, ni l’autre, ne devront se prêter en aucun cas, ni aux chantages, ni aux pressions. Ils n’accepteront jamais d’aller au-delà de leurs espérances mais ils feront tout pour réaliser les besoins de ceux qui leur ont fait confiance et qui font ce qu’ils sont.

Un gouvernement ne peut refuser la vérité des autres

L’espérance des autres comporte toujours une part de vérité et de réalisation nécessaire à la vie de l’entreprise ou de la Nation.

Ce n’est jamais se contredire que de réaliser les espérances de ses contradicteurs. Tout au contraire, c’est leur enlever leurs atouts.

Les mettre à ses côtés pour réaliser ce que vous ne souhaitez pas, peut devenir une solution à laquelle vous n’avez pas pensé mais qui, vue sous un autre angle, devient une excellente idée. Notre gouvernement devrait s’en souvenir.

Rejeter systématiquement les idées des autres, c’est s’appauvrir et c’est souvent oublier l’essentiel.

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