Le travail, c’est pour produire ce que l’on appelle le PIB et non pour supporter le coût de la santé, ou le coût de la famille, et encore moins celui des retraites. Quel crime a donc commis le travail dans notre pays pour mériter un tel bagne ?
Le travail condamné
Le travail est nécessaire pour produire du matériel, des services, des produits agricoles ou viticoles et ce, d’une manière compétitive, pour être vendus ou utilisés.
Pourquoi condamner ce travail aux travaux forcés alors qu’on l’a déjà supprimé dans notre pays pour des crimes d’Assises ? Les charges imposées sur le travail conduisent au bagne sans en apporter la moindre rédemption.
C’est au pays des libertés, au pays des lumières, que l’on conserve un tel système ; un pays qui prétend donner un exemple au monde. La France, avec 70 % de charges sur le travail, est le seul pays au monde à traiter ainsi le travail, un véritable esclavage pour un régime social qui vacille sur ses bases.
Doubler le coup du travail, ou presque, est une véritable insolence à l’intelligence et à la compétitivité française.
Monsieur le Président, une amnistie pour ce bagnard me paraîtrait humaine pour sortir le travail du bagne, même si cela n’est pas dans votre programme.
On peut toujours faire plus et mieux qu’un programme pour ce pays de liberté et d’ingéniosité.
Cette amnistie, c’est ce je vous demande pour les travailleurs français et pour la France. C’est ainsi que vous réhabiliterez ce bagnard de travail.
C’est ainsi que vous resterez pour toujours dans le cœur des Français.
C’est aussi appliquer le plan TRES dans sa totalité, immédiatement. Dans deux ou trois ans, ce sera trop compliqué.
Moi, le travail, moi le bagnard, qui travaille pour tous ceux qui ne travaillent pas, pour tous ceux qui n’ont jamais travaillé, pour tous ceux à qui on ne donne pas de travail et pour ceux qui ne sont même pas Français. Dans ce cas, moi le bagnard, je me mets en grève.
Ceux qui ont décidé d’instaurer la Sécurité sociale doivent payer. La Sécurité sociale est un organisme d’Etat, elle doit donc être financée par l’Etat.
Ce racket organisé sur mon dos doit être sanctionné et comme c’est l’Etat dont il s’agit, ce seront ses dirigeants. Ce sont eux que l’on doit condamner au bagne, car ce sont eux qui d’abord s’enrichissent et donc chargent encore davantage le bagnard.
C’est trop facile. Regardez-vous dans une glace, rétablissons la justice.
Moi, le travail, je vais vous couper les vivres en me mettant en grève définitive et vous verrez que ce jour-là, le PIB s’écroulera ainsi que l’Etat et ses dirigeants avec. Car c’est moi la bagnard qui fait croître le PIB.
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.