C’est la faune animale et le dispositif des variations climatiques qui gèrent la faune des virus et provoquent les variations des pressions atmosphériques.
Il ne s’agit pas d’élever le virus mais d’éviter qu’il ne se promène dans la nature et que nous le fassions prisonnier en le respirant. C’est l’homme qui l’aspire, c’est l’homme qui le piège.
Il appartient donc à l’homme de l’éradiquer tout comme on éradique des moustiques, des puces ou des poux. Et les virus sont mille fois plus petits : il faut les piéger en conséquence. On ne piège pas un lapin comme on piège un ours et ce n’est qu’au moment où le virus est piégé dans les poumons de l’homme qu’il devient dangereux. Le virus se défend et utilise alors le poison qu’il possède pour détruire son piège. Malheureusement, ce poison-là peut entraîner la mort.
Il paraît normal que l’on soigne les conséquences en renforçant le système immunitaire par des anticorps que l’on appelle vaccins. Le plus simple serait évidemment d’éradiquer le virus avant que l’homme ne le respire. Un masque est une bonne chose mais il est bien difficile de le porter tout le temps, jour et nuit, et durant toute sa vie. Ce n’est pas souhaitable.
Alors il faut l’éradiquer, avant qu’il n’atteigne l’homme, par un dispositif technique qui est un mur de feu sur lequel sera projeté le virus et ce mur de feu peut très bien être la résistance rougie d’un radiateur soufflant que quasiment tout le monde possède et que l’on peut acheter aux environs de 50€.
Il est aussi possible de détruire le virus par des lampes à ultraviolets. On peut les déplacer de pièce en pièce, de bureau en bureau, car une demi-heure d’utilisation suffit à faire disparaitre tous les virus.
Pour les cancers, c’est aussi une autre solution mécanique qui ne sera pas installée par des médecins mais par des techniciens et des électriciens qui placeront un régulateur de pression dans votre chambre afin d’y maintenir la pression atmosphérique à 1013 millibars.
Oui, les variations de pressions atmosphériques sont la cause de la rupture de circulation du sang dans les micro-vaisseaux. Plus de sang, plus d’oxygène : les cellules mourront dans les 24 heures. Et ces cellules mortes seront en tel nombre qu’elles ne pourront toutes être avalées par les macrophages de votre système immunitaire. Ce sont les organes filtreurs qui les arrêteront et elles constitueront des nodules, prémisses du cancer.
Le fait de protéger la circulation du sang dans vos veines et vos artères permettra d’annuler la perte de votre système immunitaire, chaque année, à raison de 1%. Et, cerise sur le gâteau, ce dispositif vous permettra d’être en pleine forme pendant toute votre vie et durant 120 à 150 ans.
Quand on parle de ce dispositif aux médecins et aux professeurs de médecine, ils sont unanimes à dire : on n’y a pas pensé.
