Le virus et le cancer ne sont plus l’affaire du médical.
Ils sont l’affaire des techniciens des rayons ultraviolets et des régulateurs de pressions atmosphériques à 1013 millibars.
L’hôpital, le médical, ne seront plus que l’exception, que l’accident. Tout ceci réduira la charge de l’hôpital de près de 60 %. Faute de malades du virus, celui-ci sera éradiqué et les cancers n’existeront plus.
Les solutions que je propose ne coûtent que quelques minutes d’hospitalisation, pour ce qui est du virus. Et coûte une journée d’hôpital pour le coût des régulateurs de pressions atmosphériques.
On marche sur la tête. Il y a quelques temps de cela, on cherchait quelques centimes pour accroître le pouvoir d’achat des Français. Aujourd’hui on dépense des milliards à tort et à travers, sans résultat probant.
Ne serait-il pas logique que les lampes à ultraviolets pour les particuliers et les régulateurs de pressions atmosphériques soient pris en charge par l’État ou par la Sécurité Sociale ?
Voilà un an que je me tue à convaincre de l’évidence. Que je me tue à convaincre qu’il faut mettre fin en éradiquant, et virus, et cancers.
Il m’est arrivé de travailler dans des entreprises quand je suis sorti de l’école, mais je me suis aperçu que pour faire progresser ou appliquer une nouvelle technique, on passait 95% de son temps à convaincre.
Alors aujourd’hui je m’adresse aux Français, non pas en les traitant de procureurs, mais en les considérant comme des acteurs de la vie, de la santé et du travail.
Les Français n’ont pas à être méprisés. Il faut simplement leur prescrire la bonne ordonnance.
Un an, parfois plus, parfois vingt ans, c’est le temps nécessaire pour que la vérité devienne l’évidence.
Alors, Messieurs les politiques, Monsieur le Président, Messieurs les membres du Gouvernement, il est encore temps de sauver l’honneur ; 100 000 morts en France, ça suffit, et 5 millions dans le monde, ça suffit.
Pour une fois, soyons le pays des Lumières.