Voici la courbe de l‘oxygène en fonction de sa composition moléculaire qui varie selon sa température.
Nous constatons qu’à 35° l’oxygène a perdu la moitié de son poids, lui donnant une énorme volatilité, et qui dit volatilité, dit efficacité multipliée par 4, lui permettant de se fixer sur les micro-cellules et particulièrement celles des poumons, ne laissant ainsi pas de place au virus.
Le barrage à l’infection est dès lors constitué.