Il nous faut trouver l’homme ou la femme qui osera proposer un moratoire à tous les pays limitrophes du désert et ainsi il sera possible de faire reculer les déserts. Ce moratoire a pour objet de conserver sur place toute la main d’œuvre qui sera nécessaire à la reconquête partielle des déserts et au développement des cultures.
Faire reculer les déserts est possible
Pour ce faire, il sera versé 20.000 € à toute personne qui, dans ces pays, mettra un hectare de désert en cultures, auxquels il sera ajouté 20.000 € de caution de la part de ces Etats. Autrement dit, pour mettre en culture 10 hectares, il sera versé 200.000 € au cultivateur ou à l’entrepreneur qui décidera de prendre en charge une telle mission.
Sur ces 200.000 €, 100.000 seront versés immédiatement et 100.000 autres sur 5 ans, ce qui permettra d’acquérir le matériel et la terre nécessaire au fur et à mesure.
Ces cultivateurs pourront s’associer en coopérative pour une meilleure utilisation du matériel. Ce matériel consistera en tracteurs mais aussi en matériel nécessaire à la production de l’énergie : pompes et creusement de puits ainsi qu’éoliennes ou panneaux solaires.
Ce sont les Etats aussi qui devront construire quelques centrales nucléaires au thorium, là où ce sera possible.
La dotation sera de 100 milliards l’année pour la mise en culture de 5.000.000 ha/an, soit 100 millions d’hectares en 20 ans. Les financements sont là.
Ceci permettra de faire baisser la progression des déserts et de stopper le réchauffement de la planète.
Alors, c’est peu, mais c’est déjà beaucoup. Tout ceci créera des millions d’emplois sur place tant pour travailler sur le terrain que pour tous les artisanats nécessaires pour l’entretien des matériels. Des millions d’emplois qui éviteront l’immigration de ces peuples vers l’Europe.
Réduire en 20 ans 30 à 40 millions d’émigrés et il n’y aura plus de problème à nos frontières.
Il va de soi que les sommes investies par la Communauté internationale n’excluent pas la possibilité de certains de ces pays de participer au démarrage économique chez eux.
Michel Leclerc : “Je pense que nous formons dans nos différents pays européens et américains suffisamment de cadres des pays d’Afrique, qui pourraient dès lors retourner chez eux, qu’ils soient ingénieurs agronomes, agricoles ou même techniciens.”
Il faut aussi préciser que ces millions d’hectares mis en cultures rapporteront des moyens financiers pour aller au-delà. On a déjà ce cas dans un certain nombre de pays africains tels que le Nigéria ou le Kenai. Ces cultures seront tout autant du manioc ou des arbres fruitiers, voire du blé, pour alimenter la progression massive de la population actuellement en difficulté.
En un mot, dans ce moratoire, nous leur fournirons du matériel et nous leur achèterons nos fleurs et nos fruits. C’est un parfait échange qui fera aussi travailler les Européens.
Si vous êtes en accord avec ce projet de transfert des cotisations sociales, signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES de relance économique par la hausse du pouvoir d’achat et permettre le financement du recule des déserts dans le monde.
