Recettes, économies, causes… L’une ne va pas sans les deux autres. Accroître les recettes par l’augmentation de la vente des produits et des services, est indispensable. N’est-il pas nécessaire de déceler les dépenses inutiles, improductives et coûteuses ?
N’est-il pas encore plus efficace de rechercher les causes de ces dépenses ?
Comment faire des économies
On peut comprendre les causes des dépenses de l’armée ou de l’école, mais accepter les dépenses de la maladie sans en connaître les causes qui les engendrent, me paraît être une impuissance qui ne peut être compensée que par des médicaments.
C’est le cas des maladies respiratoires et cardiaques ainsi que de la fatigue qui vous accable même sans travailler.
J’ai joué au chercheur et, pour ces maladies, j’ai conclu que l’auteur du mal était la dérive des pressions atmosphériques que nous savons aujourd’hui, parfaitement maîtriser : faut-il encore le vouloir et le considérer comme une mesure indispensable.
C’est 50 à 100 milliards d’économie, sans compter sur un mieux-être de notre vie de chaque jour.
Cette économie massive, c’est un tiers de nos charges : cela vaut peut-être la peine que notre gouvernement impose l’installation de régulateurs de pression dans nos espaces de vie.
Il va de soi que l’Etat devra prendre en charge partiellement les travaux nécessaires pour organiser cette régulation, au même titre que les économies d’énergie.
Ceci créera des dizaines de milliers d’emplois, ce qui n’est pas négligeable dans les conditions actuelles.
Va-t-on faire face à cette puissance invisible et aux dépenses de santé qu’elle engendre. C’est une guerre qu’il faut mener. Ce sera une économie comparable au budget de l’Education Nationale et deux fois plus que le budget de la dépense nationale.
En contrepartie, c’est 65 millions de Français en forme, sans fatigue ajoutée, aptes au travail.
Va-t-on écouter ce petit garçon qui n’a d’autre ambition que l’intérêt de la France par l’application du plan TRES. Je souhaiterais une telle économie, une volonté de fer qui n’a, jusqu’à ce jour, ni été menée, ni organisée, ni appliquée.
Monsieur le Président, escaladez très vite cette montagne : le temps nous est compté.
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.