Les pensées s’envolent facilement. Les dire et les écrire constituent un travail, un acte raisonné et efficace. Aujourd’hui, il y a de multiples moyens de les écrire et de les diffuser par les réseaux sociaux qui passent outre un corporatisme.
Le mieux est encore, quand on le peut, de les appliquer avec l’adhésion de tous, faut-il encore que les pensées expriment les avantages et les inconvénients qu’elles peuvent apporter. Il ne faut pas que ce soit un rêve ou un cauchemar.
Il faut prouver que le principe que l’on veut appliquer apporte un plus à l’homme et à l’humanité.
L’adhésion à un principe ne peut être que l’instrument de quelque idéologie s’il n’est pas explicité, s’il n’est pas compréhensible, efficace et réalisable.
Toutes ces conditions ne sont pas simples à réunir et sans cela il n’y aura pas d’adhésion, mais la confiance peut faire le complément. Nous sommes tous des St Thomas qui ne voient que ce qu’il touche et pourtant, nous avons tous nos croyances.
C’est donc la philosophie du croire ou du ne pas croire qui s’appliquera et qui permettra à ce principe de s’appliquer ou pas.
Il est difficile de croire à l’invisible et pourtant, l’invisible est souvent plus cruel que le visible ou le ressenti.
A la base de tout ce que l’on invente ou que l’on découvre, il y a la confiance, il y a la vie qu’il faut protéger.