Comment vivre avec un garrot qui conduit au cancer, aux maladies d’Alzheimer et de Parkinson, ou encore à la gangrène.
Le jour d’un accident, il est parfois nécessaire de placer un garrot pour éviter l’hémorragie. Ce garrot va arrêter la circulation du sang ou tout au moins colmater l’hémorragie mais ce garrot ne peut rester en place que quelques heures si l’on ne veut pas voir apparaître les signes de la gangrène. On peut aussi arrêter l’hémorragie par une pression importante au niveau de la plaie.
La pression atmosphérique varie de 985 à 1050 millibars et agit de chaque côté de la paroi thoracique et intestinale comme un garrot, ce qui intègre ses forces et prend une paroi en sandwich.
Le taux supportable pour un corps humain est de 1013 millibars. La variation de ces pressions atmosphériques entraîne un surplus de forces de plusieurs tonnes et, contrairement au principe de l’équilibre du corps humain, les pressions s’ajoutent sur les cellules internes et externes du corps.
Oui à l’annulation des forces pour l’équilibre naturel du corps humain. Mais en ce qui concerne les cellules, la pression interne et externe s’ajoute et prenant ainsi toutes les parois, tous les muscles, tous les organes vitaux du corps en sandwich, entraîne un ralentissement considérable de la circulation sanguine.
En fait, si la pression atmosphérique sur le corps représente 40 tonnes, ce qui est énorme, à 1013 millibars, il est facile de faire le calcul quand la pression atteint 1050. Ce n’est pas le cas de la pesanteur qui est une charge verticale et qui ne varie pas.
Le garrot qui nous entoure, compte tenu de la pression atmosphérique, se serre et se desserre au gré des anticyclones. Il faut donc s’en protéger. La cause, on la connaît à présent et il n’est rien de plus facile que de réguler la pression atmosphérique sur les lieux de sommeil et sur les lieux de travail.
Si, lors d’un accident, on est obligé de mettre un garrot, on doit le desserrer toutes les deux heures si l’on ne veut pas d’incident majeur en deçà de l’hémorragie. Mais la pression atmosphérique, ce garrot virtuel que vous ne voyez pas, qu’apparemment vous ne ressentez pas, qui est inodore, peut durer plusieurs jours, voire plusieurs semaines quand les anticyclones s’installent dans une région. Et vous ne pouvez en aucun cas desserrer le garrot sauf si vous vous mettez à l’abri de la pression atmosphérique.
Quand le garrot serre trop fort, il y a de nombreuses cellules qui ne sont plus alimentées en sang. Les petites veines ou les petites artères son compressées et ne laissent plus passer le sang.
A ce moment-là, sans que vous le sachiez, dès votre naissance, il y a des cellules qui vont mourir faute d’oxygène transporté par le sang. Autrement dit, le risque de tumeur et de cancer commence dès la naissance.
Ce garrot naturel doit être desserré au moins deux à trois fois par jour. La corde au cou bloque l’oxygénation du corps et entraîne la mort. Le garrot coupe la circulation sanguine dans une partie du corps et peut entraîner la mort d’une partie des cellules.
Le cancer n’est qu’une accumulation de cellules mortes qui forment des tumeurs si elles ne sont pas éliminées rapidement. Il y a peu de chance que le cancer apparaisse dans les toutes premières années de notre vie mais l’accumulation des cellules mortes va alors entraîner au bout de dizaines d’années, le risque de cancer.
Certes, les cellules se renouvellent sans cesse mais c’est l’oxygène qui permet de les brûler quand elles sont mortes. Plus d’oxygène, plus d’élimination.
A plusieurs reprises, nous avons donné la solution pour maintenir au moins quelques heures par jour une circulation normale du sang par la régulation de la pression atmosphérique.
Je suis incapable de vous dire combien de temps vit une cellule sans oxygène mais apparemment, ce serait quelques heures, voire quelques jours. Au-delà, le risque est grand si elle n’est pas éliminée.
Alors, a-t-on très souvent des hautes pressions atmosphériques ? Il suffit pour cela de consulter les bulletins météo et de regarder le passage des anticyclones et des cyclones. Plus d’un jour sur deux dans l’année, nous sommes au-dessus de 1013 millibars et à peu près un jour sur vingt, à des pressions supérieures à 1040 millibars. Alors, allez-vous me dire, il suffit de s’en protéger quand les pressions sont à 1040 millibars. Bien sûr que non, car au-dessus de 1020 millibars, la fatigue se fait déjà sentir et de plus en plus jusqu’à 1040 voire 1050 millibars.
Si l’on veut aller travailler sans fatigue et avec joie, il faut donc réguler le plus longtemps possible la pression atmosphérique à 1013 millibars. Attention ! Cette pression peut s’impliquer dans la vie des cellules extérieures au corps mais il en est de même pour votre cerveau, pour votre foie, pour vos poumons, pour vos reins, pour votre cœur ainsi que pour votre prostate qui plus est se trouve où tous les déchets alimentaires du corps parviennent et transitent.
Il y a des morts que l’on n’explique pas : c’est la mort subite du nourrisson qui, à mon avis, est aussi due à une pression atmosphérique trop importante. Faudra-t-il placer les petits enfants en zone régulée ? Je pense qu’il faut pour le moins y réfléchir.