La France est une nation difficile à diriger. Il lui faut un Président avec une cuirasse bien trempée. Il lui faut un Président qui appliquera son plan. Il lui faut un plan qui ne créera pas de nouveaux déficits. Il lui faut un projet sans impôts nouveaux. Il lui faut de fait un président qui s’engage à éradiquer le chômage, qui réduise la pauvreté, qui relance le monde paysan, qui assure la pérennisation de notre protection sociale en redonnant une nouvelle perspective à la population, qui développe les énergies renouvelables, qui puisse relancer sur de nouvelles bases nos relations avec l’Afrique, qui assure la paix et qui puisse également en finir avec une France des assistés.
Michel Leclerc : “Il nous faut une France volontaire pour reconstruire la France éternelle”
Certes, il y a tant à faire ; mais la possibilité existe, les moyens aussi. Le plus difficile sera d’oser, pendant les 100 premiers jours, d’utiliser les ordonnances. Il devra même aller plus loin que l’indispensable.
Michel Leclerc : “Le Plan T.R.E.S. de relance économique et sociale que je propose est fait pour cela.”
Tous les Français attendent cette relance tant repoussée par manque d’imagination ou par incapacité.
Ce président doit favoriser les conditions d’une baisse massive des prix de revient pour reprendre le flambeau de nos exportations et en faire profiter tous les Français, notamment par le plein-emploi.
Dans tous les cas, le financement des régimes sociaux devra être assuré par l’Etat c’est-à-dire par tous. C’est une question de justice ; le financement de la Sécurité sociale en dépend.
Michel Leclerc : “Le seul candidat que je pense capable de remplir cette mission pour la France, dans les conditions actuelles, ne peut être que François Fillon. Encore faudra-t-il qui puisse appliquer l’ensemble du plan de relance… sans faux semblant, sans hésitation, sans demi-mesures.”
Le Président de tous
Ce président devra également assurer la sécurité de la France et des Français. Il ne pourra le faire que dans une France économiquement puissante, dans une France au plein emploi, dans une France de justice sociale, dans une France d’innovations, de créations, de culture. En fait, cette France que l’on aime et que le monde aime.
Toutes ces conditions réunies permettrons d’avoir un euro fort. Un euro qui réduira automatiquement notre dette. En effet, un euro à 1,15 dollar, c’est 10% de notre dette qui disparaît, soit tout de même 220 milliards d’euros demain.