Quand on entre dans un supermarché ou une supérette, on prend un caddie ou un panier. Le caddie, comme le panier, vont être empoignés par les mains des acheteurs, une centaine de fois dans la journée.
Mettre un masque, c’est bien, pourquoi pas ?, mais il faut qu’à chaque utilisation de ces caddies ou de ces paniers, ils soient passés dans un tunnel, ne serait-ce que quelques minutes, où la chaleur sera de 80°. Cela suffira pour tuer le virus. Créer un petit tunnel de ce genre est très peu coûteux d’autant plus que le stockage de ces caddies se trouve à l’extérieur.
De même, il serait prudent qu’à tous les étalages, de fruits, de légumes, de charcuterie, il y ait une espèce d’auvent en plastique transparent qui protège les denrées que nous allons manger. Il faut d’ailleurs reconnaître que dans beaucoup de supermarchés, cela est déjà fait.
Il doit en être de même sur toutes les poignées telles que celles des transports en commun. Ces derniers devront être surchauffés pendant quelques minutes à chaque fin de ligne, à une température de 80 °.
Le but n’est pas de tout supprimé mais d’éviter l’essentiel.
Pourquoi vous parlé-je des trains, des bus, des métros ?, parce qu’ils sont les premiers véhicules des virus. Il en est même pour les usagers : où est le problème de les faire systématiquement traverser un tunnel de quelques mètres surchauffé à 60° ? Ils auront simplement l’impression de passer dans un sauna durant quelques secondes.
Là encore, l’objectif est de terrasser le virus là où il peut se trouver. Ce sont des décisions sages et simples.
Il est à noter qu’aujourd’hui, tout le monde, y compris dans le monde médical, déclare que la chaleur est le seul moyen de tuer le virus.