Faute de solutions crédibles, pour l’économie, pour le social, pour le sanitaire, les Français estiment que la coupe est pleine.
Que ce soit du plus jeune au plus vieux, les Français se posent des questions : hier, pas de masques, aujourd’hui pas d’aiguilles, pas de vaccins.
On prend des demi-mesures sans réfléchir, sans intérêt, quand elles ne sont pas contradictoires ! À l’ordre donné, on attend le contre-ordre. Au « coûte que coûte » parvient « le sauve qui peut ». Il faut tenir, nous dit-on, et pendant ce temps on ne fait pas l’essentiel.
Acceptera-t-on, un jour, d’appliquer les alternatives plus efficaces, naturelles et gratuites ?
Les laboratoires nous ont menti et pourtant des sommes fabuleuses leur ont été versées et, avec cet argent, aujourd’hui, ils travaillent pour les plus offrants. Ne soyons pas naïfs, l’Europe n’a pas imposé sa puissance, là aussi c’est du chacun pour soi.
Ce qui est invraisemblable et dramatique, c’est que nous avons toutes les solutions nécessaires, que ce soit sur le plan sanitaire, social et économique. Le bon sens et l’évidence finiront par être appliqués. Mais il faudra, coûte que coûte, mettre fin à tous les monopoles qui entravent le fonctionnement de la France. La liberté n’est devenue qu’un vain mot au profit de l’argent. Chacun essaie de constituer son monopole.
Le chef de l’Etat est écrasé par ces bastions financiers et par un système technocratique qui appuie de toutes ces forces sur les freins.
Oui, c’est la Bastille qu’il faut reprendre, par le bon sens, par l’évidence, en se rappelant que la nature sera toujours plus forte que tous les médicaments que l’on veut nous faire prendre.
Alors, citoyens, c’est notre hymne national qui nous le dit : « formons nos bataillons ». Oui, c’est la guerre, Monsieur le Président mais pas seulement contre le virus mais contre tous ceux qui l’entravent.
Ne continuons pas à présenter un armistice, le peuple de France veut la paix.
Il est malheureux parce qu’on lui ment et qu’on l’empêche de vivre. Il sait qu’il existe des solutions alternatives. Faudra-t-il un siècle pour les mettre en application ?
Monsieur le Président, il faut s’affranchir du corps scientifique et c’est vous le chef qui devait guider et non subir.
La démocratie, oui, bien sûr, mais là, nous avons pris un chemin qui conduit à la destruction. Alors, debout la France ! En commençant par son Président.