Le réacteur social, c’est la tva sociale sans impôts

Le réacteur social brise les obstacles de l’impôt supplémentaire.

Le réacteur social ne se sert que du travail, que de la production, pour financer par le social par la taxe sur le produit.

La TVA sociale se sert de l’impôt pour financer le social.

Bien sûr que le social, pris en charge par l’État, peut être considéré comme une prise d’impôt mais ce n’est pas le cas. Le réacteur social, c’est avant tout un producteur de financement par l’État du social par la taxe sur les produits et par la CSG.

L’objectif est le même mais les moyens diffèrent, et si les syndicats et certains politiciens se sont opposés à la TVA sociale, ils n’ont plus aucune raison de s’opposer au réacteur social.

Il sera peut-être nécessaire, en attendant que nos réacteurs soient en pleine puissance, de doter provisoirement, pour un an au maximum, une aide de l’État. Mais ce ne sera qu’une aide provisoire qui pourrait provenir de la CSG.

Le réacteur social est le seul qui pourra apporter la compétitivité nécessaire.

Par conséquent, de favoriser les exportations et la consommation intérieure avec un accroissement immédiat du pouvoir d’achat, de 15%.

Ceci est mécanique. Faire baisser les prix, c’est assurer l’avenir, augmenter les salaires, c’est le chien qui se mord la queue. Et cela ne permet pas d’avancer. Ce n’est pas le salaire qui est important, c’est de savoir ce que l’on va pouvoir acheter avec. Et le réacteur social nous en donne la solution.

Sans être un régime autoritaire, il faudra imposer les participations des salariés aux bénéfices des entreprises de même qu’il faudra imposer la réduction des prix, dans la proportion de 80%, de la manne financière obtenue par la suppression des charges.

Oui, le réacteur social, c’est une TVA sociale réactualisée en fonction de la concurrence mondiale.

TVA-sociale

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