Dans le malheur, on doit tous être unis ; mais la catastrophe actuelle était bien prévisible avant l’arrivée du Convid-19. Nous savions tous que nous allions avoir une crise économique et ce, depuis déjà près de deux ans.
Aujourd’hui nous soignons, mais a-t-on mis en place la moindre prévention ? A-t-on fait le nécessaire aujourd’hui pour éradiquer les virus mais aussi les cancers ?
On demande à la science ce qu’elle n’est pas en mesure de nous donner. Et même si un jour il y a un vaccin pour détruire ce virus, il ne sera plus d’actualité car le virus aura muté. Ce n’est donc pas la solution d’attendre, et attendre, et attendre.
Dirigeants de tous pays, achetez-vous une paire de lunettes qui s’obscurcit aux rayons du soleil, vos yeux seront au moins à l’abri… Cette paire de lunettes permet de voir plus loin, elle permet de voir plus grand. Elle vous permettra peut-être de voir le bon chemin.
Depuis deux ans, notre économie continuait à faire grandir la dette ; on aura beau nous dire que ça allait mieux, j’en conviens, mais le mal était toujours là. Quand va-t-on comprendre, en France, qu’il n’y aura jamais de bonne économie sans une bonne santé ?
Faudra-t-il créer une nouvelle matière à la faculté, les sciences de la nature, que l’on pourrait développer. Mais je doute fort que l’on prenne ce chemin, parce qu’il ne rapportera pas assez et pourtant il serait mille fois plus efficace que toutes les recherches de médicaments chimiques qui ont pour mission de détruire et non d’éradiquer.
En fait, notre économie se dégrade selon une courbe parallèle à toutes les maladies que nous subissons. C’est cette courbe qu’il faut casser. C’est l’avenir de l’humanité qui en dépend car la courbe des virus et des maladies est exponentielle, et nos Etats, leur économie, vont suivre les mêmes courbes en se dégradant, en ayant de plus en plus de dettes, en ayant un PIB bien au-delà encore de ce que l’on a aujourd’hui.
On ne résoudra pas notre problème économique par un plan de relance. Notre économie dépend trop de notre santé, c’est de notre santé dont il faut s’occuper car elle est l’élément déterminant de notre économie.
La mondialisation permet la circulation de charters de virus mais les cancers qui n’ont rien à voir avec ces virus, nous les construisons tous les jours dans notre corps sous l’effet d’un excès de pressions atmosphériques. Va-t-on réagir un peu face aux 220 000 morts chaque année et aux 50 000 morts par pollution ? On a eu peur, très peur, du coronavirus mais il n’a fait que 30 000 morts en France et l’on n’a toujours pas pris les mesures nécessaires pour l’éradiquer.
Alors, il ne faut pas s’étonner que nous nous trouvions aujourd’hui dans une situation économique désastreuse et même si l’on met entre parenthèses la dette, eh bien, on continuera à en construire une autre qui grandira encore plus vite. C’est cela l’économie ?
Dirigeants de tous pays, acceptez des méthodes naturelles pour éradiquer des phénomènes naturels. Ce sera difficile, Messieurs les dirigeants, car le poids des Conseils Scientifiques est devenu tel, que vous en êtes les otages. Ils devraient être vos conseillers, ils ont fait de vous des serviteurs financiers. Nous ne pourrons pas continuer ainsi : sans la prévention, sans l’évitement, rien ne sera possible. Soigner, toujours soigner, avec du « je ne sais pas », n’est pas la solution. Réveillez-vous, bon sang ! la nature est là et vous propose tous ses antidotes dont nous connaissons comment les adopter.