Comment se fait-il que nos chercheurs n’aient jamais pensé à l’incidence de la pression atmosphérique sur le corps humain, bien plus fragile qu’une lame de métal ?
L’invisible, l’inodore, l’absence de ressenti, c’est comme une croyance : il faut un miracle pour y croire.
Les variations de la pression atmosphérique sont d’une mouvance perpétuelle. Et la nature a pourtant horreur du changement.
Notre machine humaine est robuste et fragile à la fois ; la moindre variation entraîne des conséquences, même parfois un bouleversement.La pression atmosphérique, c’est un géant qui se serre et qui se desserre au-dessus de nos têtes et, cependant, il est mesurable par un simple baromètre qui utilise la déformation d’un métal pour indiquer le niveau de pression à chaque instant.
Pourquoi nos chercheurs n’y ont-il pas apporté de solution ? A chaque fois que le baromètre indique des pressions supérieures ou inférieures à 1013 millibars, ce sont des millions de nos cellules qui vont mourir par écrasement ou implosion de nos micro-vaisseaux, faute d’être alimentés.
C’est tout notre système circulatoire, certes merveilleusement mis en place, qui va être perturbé par un accident extérieur au corps.
Alors, vous allez me dire : quand et comment ? Les pressions atmosphériques n’ont pas de règles établies. Elles peuvent être aussi fortes en hiver qu’en été et elles sont quasiment anormales un jour sur deux en moyenne. Où cela devient dangereux, c’est quand cette variation maximale ou minimale s’installe pendant plusieurs jours ou plusieurs semaines.
Nos cellules sont comme des plantes : si on ne les arrose pas, un jour ça passe, deux jours, cela ne passe plus, elles fanent ou elles meurent.
Au-delà du niveau du baromètre qui est visible, il y a des signes avant-coureurs qui sont la fatigue et cette fatigue, vous la ressentez dès la naissance. Les cellules peuvent mourir dès la naissance. Certes, nous avons 38 milliards de cellules ; il n’en mourra probablement que quelques millions mais comme elles ne seront plus brûlées, faute d’oxygène, elles vont circuler dans le sang et aller se loger dans tel ou tel organe que constituent les filtres.
Au-delà des problèmes mécaniques entraînés par ces variations de pressions, c’est tout un système électrique qui se met en route car nous sommes plein de fer et d’autres métaux et nous constituons un rotor au milieu d’un champ magnétique et devenons une véritable génératrice d’électricité.
Au-delà du problème d’alimentation des cellules, nous subissons un courant électrique qui n’est pas sans cause par rapport à l’arthrose de nos articulations qui pourra aller jusqu’à la destruction du cartilage par de simples micro-étincelles de contact.
Pour tout ce que nous venons d’expliquer, il faut savoir aussi que le corps humain est une machine extraordinaire qui reconstitue toutes les cellules en permanence mais l’excès d’une trop grande variation peut provoquer l’accident irréparable.
La force qui provoque la déformation d’une plaque de métal n’a jamais été prise en compte pas les chercheurs.