En fait, la vie d’un virus est très courte, il ne vit que dans un espace qui lui est propice. Il vit à des températures de -5° à +50°. Jusqu’ici, on a tout fait pour l’entretenir. Si l’on ne veut pas le subir, il faut l’attaquer là où il se trouve, dans des lieux bien précis, y compris dans le corps humain avant qu’il ne s’attaque à nos organes vitaux, tels que les poumons.
Personne n’a pu dire le contraire : on peut le tuer avec des rayons ultraviolets et la chaleur peut le neutraliser. C’est ainsi que je propose, en cette période estivale, non pas de fermer les plages mais de s’exposer au soleil à 40 ou 50° et de subir la force des rayons ultraviolets à la verticale.
Oui, un virus est ultra fragile mais que fait-on ? Eh bien, à ce jour, on va simplement soigner les dégâts après son passage. Ne serait-il pas nécessaire de couper sa course en lui posant les multiples embuscades nécessaires, mais des embuscades naturelles ? Et, faute de soleil naturel, il va falloir créer un soleil artificiel avec des rayons ultraviolets.
Tout cela, nous savons le faire. Mais que fait-on en fait ? On se refuse à détruire le virus là où il se trouve : dans les chambres réfrigérées, les entrepôts frigorifiques, les camions, les gondoles frigorifiques, etc. S’en protéger, c’est bien, mais le détruire, c’est mieux.
On est toujours frileux dans l’action. On ne prend toujours que des demi-mesures. Et, comme toujours, les demi-mesures ne conduisent à aucun résultat, pire : elles conduisent à des erreurs médicales. Quand on s’attaque à un nid de frelons, on évite d’y mettre la main de trop près sinon, ce sont les frelons qui gagneront la bataille.
Le masque, c’est bien, mais il faudra bien un jour enlever ce masque, et les frelons existeront toujours. Autrement dit, le masque n’est qu’une demi-mesure.
Ce qui est curieux, c’est que durant les guerres, pour empêcher l’adversaire de progresser, on installe des embuscades ; faut-il encore ne pas ouvrir des voies royales où l’ennemi pourra passer sans difficulté, tels les aéroports ou les ports, tout simplement. Il est vrai qu’on a pris l’habitude d’importer : c’est plus facile que de produire.
C’est d’ailleurs ainsi, en stoppant les importations qui viennent de nulle part, ou plus spécialement de la Chine, qu’on pourra redresser notre économie, en sachant, dès à présent, que ce que nous importons à peu de valeur par rapport à ce que nous produisons. Va-t-on encore continuer longtemps à importer les maladies par charters ?
Oh ! Je sais ce que l’on va dire : ce charlatan de Leclerc !!! Peut-être, mais il arrive aux résultats et c’est l’essentiel.
On a pris l’habitude, dans le monde, de mettre des chars d’assaut pour arrêter l’ennemi mais le char d’assaut, c’est totalement dépassé, et l’on n’est même pas capable d’arrêter un micro virus ? C’est une sacrée défaite de nos services de recherche médicale. Il va falloir y remédier.