A présent, les Français ne veulent plus du « je ne sais pas ». Ils veulent la réalité, la vérité, quelle qu’en soit la dureté.
Le bon sens populaire va triompher. La médecine a échoué, les Conseils Scientifiques ne sont pas porteurs de réalités, ce ne sont que des capteurs d’argent. Ils veulent aussi capter l’âme des Français par la peur.
Quand Monsieur Macron a annoncé la fin de l’ENA, tout le monde a espéré avoir trouvé un génie. Ne faudrait-il pas que Monsieur Macron en fasse de même pour les Conseils Scientifiques qui, en fait, ne savent pas grand-chose si ce n’est que de nous dire, chaque jour, « on ne sait pas » ?
L’évidence est en train de prouver l’incompétence de ces capteurs de consciences. Oui, Monsieur Macron, il va falloir aussi supprimer ces prétendus Conseils qui se disent savants et qui, pour beaucoup, sont payés par les laboratoires sans foi ni loi, des laboratoires qui n’ont pour seul objectif que de se faire de l’argent.
Ils ont totalement mis de côté, sous le boisseau, le serment d’Hippocrate. La souffrance et le malheur des gens ne sont pas leur tasse de thé. Je dirais même qu’ils cultivent cette souffrance et cette peur en nous disant : le vaccin, ce sera dans deux ou trois ans, et un vaccin dont on ne connaît pas ni la réalité, ni l’efficacité.
En fait, tout n’est fondé que sur l’aspect médical et chimique, rien n’est fait avec la puissance de la nature, en bien ou en mal. Va-t-on revenir au temps d’Hitler qui demandait à ses médecins de trouver la solution finale la plus rapide ! C’était l’extermination. Je n’irai pas jusque-là mais dans toute dictature, dans tout monopole, il y a des gens qui pratiquent cette philosophie.
Ne faisons pas de nos chercheurs des philosophes dictés par l’argent. Il n’y en a pas un qui ose dire qu’il a échoué. Et je leur pardonne car, en définitive, c’est l’argent qui les fait échouer.
Les politiques se déchargent toujours sur les scientifiques, c’est bien facile mais est-ce le rôle des politiques de se protéger ou de prendre les décisions qui s’imposent à leur esprit à eux ?
Pire que cela, les politiques n’hésiteront pas à traîner dans la boue ceux qui hier les ont conseillés. La politique n’est pas un outil. La politique est une solution, faut-il encore vouloir l’appliquer.