Il n’y a pas un seul cuistot qui œuvre devant ses fourneaux et pas une seule employée de nettoyage à sec qui ait été atteint par le coronavirus. Avez-vous compris pourquoi ?
Peut-on se poser la question du “pourquoi” ? Tout simplement parce qu’ils travaillent dans un espace de vie où il fait toujours 30° et plus. C’est l’air qu’ils respirent.
Alors, arrêtons de tergiverser : le constat est accablant, le refus est criminel. Chauffons l’air que nous respirons.
Cela n’empêche pas non plus d’épurer, en sus, cet air chaud.
On appelle l’été de tous nos vœux et l’on ne fait rien pour compenser les effets de l’été quand arrive l’hiver…