- La tuberculose
- La variole
- Le paludisme
- Le sida
- Le coronavirus
- La malaria
- Le cancer
- Etc.
Non, Monsieur le Président, il n’est pas question de prendre l’habitude de vivre avec ces maladies. On en a assez du « je ne sais pas ». Toutes les maladies ont des causes, des causes que l’on n’a pas cherchées ou pas voulu chercher, pour des raisons purement financières.
Je pense pouvoir faire mon affaire du cancer, du Parkinson, de l’Alzheimer et de bien d’autres grandes maladies parce que je pense que j’ai trouvé la cause.
Je reste convaincu que la cause de toutes ces maladies est résumée en deux ou trois causes. Si l’on fait le compte de tous les citoyens qui sont morts par ces maladies, on s’apercevra :
- qu’il n’y aurait plus de pauvreté
- qu’on aurait pu construire mille pyramides d’Egypte
- qu’on aurait pu creuser cent « Canal de Suez »
- mais aussi qu’on aurait pu permettre au peuple et à l’humanité de mieux vivre,
toute une énergie qui a été perdue par incompétence, parce qu’on a souvent pris le mauvais chemin.
Non, Monsieur le Président, je me refuse à vivre par habitude, par peur. Je veux vivre heureux, sans inquiétude, sans épée de Damoclès. Je me refuse de vivre avec la mort ; elle doit être une séquence de vie. La vie n’est pas à la disposition de la mort.
Les vaccins, peut-être, mais ce n’est pas suffisant pour éradiquer la cause. On soigne, mais ne vaudrait-il pas mieux éviter ces maladies ? La recherche a refusé de regarder la nature en face car c’est dans la nature qu’on trouvera la cause et la solution.
Les maladies ont toutes une cause, il suffit de constater des faits précis. Et pour les éradiquer, il faut se servir de la nature et de ses antidotes. On pourra ajouter aujourd’hui la solution mécanique par la régulation des pressions atmosphériques qui permettra de mettre fin à tous les cancers.
Dire que l’on va vivre avec le coronavirus et toutes les autres maladies n’est pas digne de vous, Monsieur le Président, non, pas de vous.
Il faut se ressourcer. La recherche n’a pas le droit d’être un soignant : elle doit rechercher les causes.
Non, Monsieur le Président, la France n’a pas besoin d’être soignée. La France a les moyens de produire en compétitivité, elle a les moyens de conserver son système social en changeant totalement son financement. Le social n’a pas de place sur le travail.
Le cancer n’est pas une maladie mais un édifice qui se construit dès la naissance pas des intrus qui proviennent aussi de notre corps, c’est l’afflux de cellules mortes suite aux pressions atmosphériques, qui construisent les nodules.
Je vais le prouver mais, comme toute vérité, elle va traverser les différentes étapes, d’être ridiculisée, à laquelle on va s’opposer, avant d’arriver à être reconnue comme l’évidence.
Monsieur le président, c’est ensemble que nous relèverons la France. Vous aurez le peuple à vos côtés si vous acceptez de prendre le bon chemin.