La maison brûle et l’on a appelé les fournisseurs de pétrole pour activer le feu !
Notre pouvoir s’écroule et nous accusons les grandes surfaces.
Notre bien-être est à la merci d’un fou qui nous a figés sur place.
Notre vie, déjà durement attaquée par la nature, se voit menacée par la guerre.
De l’est à l’ouest, du nord au sud, la voie du bon sens et de la paix s’est fermée.
L’intérêt et l’argent ont pris la place du travail.
On ne travaille plus que pour la guerre, pour l’argent
On a oublié l’essentiel :
la vie, une vie plus longue, en pleine forme, avec toutes ses facultés, pour être ensemble dans un autre monde.
Il nous faut créer ce monde et nous avons tout ce qu’il faut pour y parvenir.
- On peut transformer les déserts en jardins.
- On peut éviter la pollution de l’eau et de l’air.
- On peut maintenir les constantes que peut supporter notre corps.
Tout est faisable. Il faudra un peu de temps, il faudra oser prendre des risques et ne pas s’enfermer dans un coffre-fort, par incrédulité.
Il est des hommes et des femmes qui meurent aujourd’hui pour avoir osé prendre le chemin de la paix.
Ils planent au-dessus de nous, ils nous apportent l’espérance pour un combat de titans.
Il m’a fallu 20 ans pour casser trois monopoles.
Il me faudra 10 ans pour casser le monopole du prétendu savoir de la médecine qui, en fait, se termine toujours par un « je ne sais pas ».
Notre vie est l’affaire de tous.
Humblement, mais sûrement, nous parviendrons à une autre vie, dans un autre monde que l’homme ne pourra détruire.
C’est ma guerre contre la vanité, l’orgueil, l’argent, le désespoir.
Nous avons les outils pour l’avènement.
Il est temps que les verrous sautent
Aujourd’hui, c’est « tous contre un ».
C’est la liberté contre l’autoritarisme.
Au-delà de l’OTAN, il y a chaque pays donateur.
Tous les pays libres se sont déclarés en économie de guerre.
Hier, on nous disait que nous n’étions pas en guerre avec la Russie mais on avait oublié que la Russie, elle, était en guerre contre nous.
La Russie tente de déséquilibrer le monde.
- Il faut en être conscient et mettre dans la bataille nos armements et nos munitions et, mieux encore, en fabriquer d’autres.
- Il nous faut éteindre l’incendie.
- Il faut oublier les promesses non tenues de ces pays.
L’Ukraine ne demande pas l’impossible, mais demain il sera trop tard.