A ce jour, le chômage que l’on constate en France n’est pas directement imputable au gouvernement de Monsieur Philippe, et pourtant la conjoncture internationale est meilleure.
Le chômage comme baromètre de l’action du gouvernement
Les premières décisions du gouvernement de Monsieur Philippe, en juin 2017, ne peuvent être liées avec le taux de chômage que l’on connait en France depuis de nombreuses années. Le chômage que l’on garde depuis son investiture sera quant à lui le fruit de ses décisions. Le mois de septembre 2017 sera difficile si rien n’est fait de manière urgente.
La France va-t-elle refuser de prendre le train de la croissance en marche ? Va-t-elle oser abandonner 5 millions de chômeurs et 9 millions de pauvres sur le bord de la route ?
Un plan est pourtant près à être mis en oeuvre
Sans application du plan TRES en totalité, le chômage au mieux se stabilisera, au pire augmentera, et l’hiver prochain deviendra un véritable calvaire.
Michel Leclerc : “Je suis un optimiste par nature, mais rien ne sera possible sans une baisse des prix de revient et sans une augmentation du pouvoir d’achat.”
La hausse du pouvoir d’achat dépend du plan imaginé par Charles de Gaulle
Rien ne sera possible sans le transfert des cotisations sociales sur le budget de l’Etat. Plus grave : aucun projet ne pourra voir le jour sans baisse de la dette. Les taux d’intérêts seront en augmentation, ce qui risque de créer de nouvelles dettes pour la France, et le chômage reprendra sa courbe croissante.
Rien ne sera possible en France avec une Europe qui multiplie les cotisations sociales, bloquant toute libre concurrence. Et pourtant, un taux de croissance de 4 à 5% est indispensable pour que l’Europe devienne la 3e puissance mondiale.
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.