A l’impossible, nul n’est tenu. A l’invisible : soyons les acteurs du possible.
Selon l’adage « à l’impossible, nul n’est tenu », oui mais à un moment précis,
en un lieu précis.
Alors, essayons, avec l’invisible, de rendre possible notre lendemain en le
rendant florissant et en acceptant de reconnaître que l’on n’a pas tout essayé,
et loin s’en faut.
On s’est engouffré dans une politique de soins au lieu d’une politique de
simplicité et d’éviter le pire.
A ce jour, pour notre vie, ce sont les laboratoires qui font la pluie et le beau
temps mais les laboratoires ne sont nullement, ni les inventeurs de solutions, ni
les déceleurs de causes : il n’y a que la cupidité qui les intéresse.
On a oublié trop souvent que la nature a sa face désastreuse mais qu’elle a
aussi sa face de bienfait. On ferait mieux de faire tout comme on élève des
coccinelles pour détruire les insectes qui rongent nos cultures et nos arbres. On
n’utilise pas assez la nature en réaction à sa propre phase destructrice.
Cherchons et nous trouverons dans la nature ce qui peut être régulé. La chimie,
quelle qu’elle soit, est un poison, que ce soit pour le végétal comme pour
l’humain.
Le contrôle
Tout ce qui est dit, tout ce qui est promis, tout ce qui est fait, doit être contrôlé
et vérifié. Ce doit être la règle aujourd’hui. Toutefois, il y a toujours des
dérogations et les solutions mathématiques échappent à cette règle.
Cela est valable pour la recherche des étoiles et cela est valable aussi pour
Hygée. Faire confiance est une chose, faire une confiance contrôlée, c’est
mieux dans tous les domaines.
Les promesses, même écrites, doivent être contrôlées dans le temps. En fait,
les promesses n’engagent que ceux qui les profèrent. Il est parfois nécessaire
de les contrôler. Quand on fait une erreur, la noblesse veut qu’on l’assume.
Dire que c’est un oubli ou une erreur de sa part, renforce la crédibilité de tout
un chacun. Trop souvent, les raisons évoquées sonnent le faux.
