Quand elle enfante, une femme ne fait pas un demi-enfant. Je pense que Madame Borne ne prendra pas de demi-mesure. Je pense qu’elle écoutera, qu’elle constatera, dans l’intérêt de la France et des Français.
L’action d’une femme peut bouleverser les tabous et permettre de financer notre système social autrement que par le travail.
L’action d’une femme peut apporter bien de nouvelles visions fondées sur l’action d’éviter et non de soigner, au risque d’affaiblir l’homme.
L’action d’une femme dans le nucléaire peut permettre de trouver le bon sens de notre production électrique nucléaire par de mini centrales construites sur les lieux de consommation.
Madame Borne devra permettre que la commercialisation de l’énergie électrique ne soit plus un monopole : chaque industriel, chaque grand consommateur devra pouvoir produire sa propre consommation. Chaque ville, chaque regroupementde villages pourra produire sa propre consommation. Et pourquoi ? Tout simplement parce que le prix du KW pourra être divisé par dix.par de mini centrale nucleaire
Une femme comprendra que les pylônes des lignes aériennes, des transformateurs, constituent des désastres dans notre paysage sans compter sur la déperdition actuelle d’énergie de 80% causée par ces moyens de distribution.
Une femme peut comprendre que l’on puisse mettre fin aux terribles cancers qui se construisent et aux virus que nous respirons, simplement par des dispositifs mécaniques naturels.
C’est tout ceci, l’économie réelle de l’Etat : le bon sens est le fil conducteur d’une économie rationnelle en évitant un financement d’une dette sur une dette.
Une femme est capable de faire simple ce qu’on complique aujourd’hui, uniquement pour l’argent de quelques-uns.
L’inflation va être boostée par le COVID
Les trois derniers mois de cette année seront le théâtre d’un COVID-roi que l’on ne veut pas éradiquer et qui reviendra chaque année quand les vents du nord et du nord-ouest souffleront sur notre pays. Bien sûr, ce phénomène s’opérera dans tous les pays occidentaux.
Revenir à un déficit prévu à moins de 5% par la Banque de France, est quasiment impossible et ce déficit pourrait atteindre 10%.
Le déficit n’est pas l’inflation mais il y participe largement pour nous donner, au 31 décembre de cette année, une inflation proche de 12% et de 20% à fin 2023.
L’inflation ne provient pas de l’Ukraine ni de la Russie mais d’une spéculation honteuse et désastreuse de la part d’un petit nombre de gens, et pas toujours des banques.
La dette va être aussi le fil conducteur de l’inflation avec un taux d’intérêt qui pourrait atteindre 5 à 8% pour le public et 4 à 5% pour les banques centrales. Ce qui fera, pour la France, une dette supplémentaire de 120 milliards par an, à fonds perdus, soit le quart du coût du social de la France.
Comment voulez-vous que, dans ces conditions, l’inflation puisse se réduire ?
On essaie de faire peur à la population en lui disant de restreindre sa consommation : c’est exactement le contraire de ce qu’il faut faire, y compris pour l’énergie électrique car, d’ici le mois de novembre, la plupart des réacteurs en panne seront remis en route.
L’inflation est un cancer qui se construit comme celui des hommes. Il se construit au cours des années et on n’y prend jamais garde car il est quasiment invisible. Et pourtant, la France a tous les atouts pour se relever, faut-il encore le vouloir et prendre les mesures indispensables que nous connaissons.
Actuellement, nous vivons à crédit dès le mois de juillet de chaque année : cela ne peut pas durer. On finira par faire la manche dans la rue ou sur les marchés financiers.
Parmi les mesures essentielles, la baisse de la TVA est une illusion, seule, une baisse des prix permettra un renouveau de la France.