« L’essentiel n’est pas de sortir de polytechnique, mais de sortir de l’ordinaire » : Charles de Gaulle.
C’est en ces termes que le Général de Gaulle lançait un appel pour utiliser le savoir, non seulement à la sortie des Grandes Écoles, mais aussi pour tout un chacun.
Il répondait à une question qui se pose : si ceux qui sortent de Grandes Écoles cherchent plus souvent à utiliser leur savoir pour avoir un poste que pour chercher à utiliser leur savoir, même quand c’est l’État qui a payé leurs études.
En France, il y a aujourd’hui 15 000 étudiants dans tous les secteurs d’activité qui sortent des Grandes Écoles. Combien d’entre eux seront des génies productifs pour la France ? Peut-être une cinquantaine mais guère plus. Ils auront, pour la plupart, préférer un poste bien rémunéré, bien sécurisé, dans un ciel bien étoilé.
Le plus important c’est qu’ils créent ainsi une barrière aux génies de millions de Français souvent plus exceptionnels que ceux qui sortent de ces écoles.
Ce sont souvent des artisans, des artistes ou tout simplement quelqu’un qui a une idée à exploiter ou qui a fait une découverte. Je peux en parler d’expérience car je suis, moi aussi, sorti d’une Grande École, major de ma promotion. Mais que sont devenus tout ceux qui en faisaient partie ? Je n’ai jamais compté avec précision, mais rares sont ceux qui ont été reconnus pour avoir apporté quelque chose à la France.
Il y a certainement beaucoup plus de génies ordinaires et populaires, qui ne le savent pas, que de génies qui sortent des Grandes Écoles. La mémoire est une chose, l’intelligence en est une autre, et le Général de Gaulle l’avait parfaitement compris. Car, pour réussir et pour découvrir, il faut prendre des risques et parfois, des risques qui peuvent se reporter sur la vie familiale.
Il faudra, tôt ou tard créer un statut spécifique pour que tous ces petits génies puissent défendre leurs découvertes.
On parle beaucoup actuellement d’un salaire au mérite mais ce n’est pas seulement de l’argent qu’attendent ces petits génies, au mérite, mais de l’argent pour développer leurs découvertes ou leurs initiatives.
Aujourd’hui, tout est fait pour faire barrage à ces petits génies mais il faut savoir que les génies des grandes Écoles n’ont pas le monopole des découvertes, et loin s’en faut.
Va-t-on devoir voter en plein confinement ?
On nous a dit que Monsieur Macron avait bien géré la crise du COVID mais Monsieur Macron, comme pour les autres problèmes, n’a pris que des demi-mesures sans écouter les autres solutions.
Devoir aller voter en période de confinement n’est pas si absurde que cela, mais ce sera presque héroïque et les abstentions seront massives au point qu’il faudra se poser la question : est-ce que cette élection présidentielle sera constitutionnelle ?
En tout cas, ceci n’est pas une hypothèse absurde ; elle est possible mais pas souhaitable. La semaine dernière, il y a eu jusque 180 000 nouveaux cas par jour, ce qui nécessairement entraînera 200 morts par jour dans les 15 jours à venir.
Le prétendu vaccin s’est évaporé. On parle d’une quatrième puis d’une cinquième dose, etc. En tout état de cause, ce n’est pas un vaccin mais simplement un traitement qui a pour but de consolider notre système immunitaire pendant un certain temps uniquement.
On a préféré enrichir les laboratoires plutôt que d’éradiquer le virus. Mais pourquoi voulez-vous que le virus disparaisse … ?
Va arriver l’été où le soleil tuera tous les virus qui seront dans l’air. Mais il ne pourra rien faire là où le soleil ne pénètre pas. Et l’on recommencera au mois de septembre ou d’octobre, comme les deux dernières années. Après une période de quiescence entre le 15 mai et le 15 septembre, plutôt profitable à l’économie, reviendra l’étranglement économique pour beaucoup. Car le virus est comme Monsieur Poutine : tant qu’il sera vivant, il tuera les autres.
Le virus à l’air libre n’est pas dangereux, il le devient quand nous le respirons car il devient prisonnier de notre corps.
Pendant combien de temps allons-nous encore subir tous les effets néfastes du COVID 19 ? Nous n’aurons jamais la paix tant que l’on ne l’aura pas détruit définitivement. On va probablement trouver encore et encore de nouvelles potions magiques mais la paix ne reviendra que quand on l’aura éradiqué
Je voudrais simplement poser la question à Monsieur Macron : si dans son nouveau programme, il prévoit l’éradication du virus, tout simplement, parce que tout ce qui a été fait à ce jour est un échec.
On aura peut-être sauvé quelques vies, ce qui est très bien, mais on aura empoisonné des millions d’êtres avec toutes les conséquences qui en découleront.
Non, Monsieur Macron, vous n’avez pas réussi pendant ce quinquennat à apporter un plus aux Français. Vous n’avez pas réussi à les protéger et vous les avez appauvris de 30 000 € supplémentaires par ménage, par la dette que nos enfants devront payer, tôt ou tard. La moindre des choses serait de le reconnaître et de quitter le pouvoir.