Il nous faut combattre «le vivre avec », nos « habitudes », les « causes », les « astreintes » qui en découlent. C’est ce que nous impose la mondialisation.
On a vécu sur un tas d’or et on l’a transformé en une montagne de monnaie-papier et ce, par facilité, par paresse, par orgueil.
On a oublié que la vie, le travail, sont des lingots d’or que l’on peut stocker.
Combattre l’invisible, c’est neutraliser l’invisible. Accepter, aujourd’hui, la présence de virus et de cancers, c’est payer un lourd tribut par les astreintes qui nous sont infligées ; c’est 100 000 morts par an en France, pour les virus, sans en oublier les conséquences et les séquelles qui en découlent. C’est 250 000 morts par an, pour le cancer. Mais dans quelle civilisation nous fait-on vivre ? On nous a prêté la vie, et l’on nous propose la vie éternelle…
Les virus, le cancer, la grippe, le paludisme et de multiples autres maladies, sont devenus une habitude et l’on vit « avec » l’habitude, par facilité, par incompétence, par refus de l’évidence.
Notre civilisation serait-elle devenue celle de l’habitude ?
Et au lieu de vivre en pleine forme, on subit les conséquences des grandes maladies qui nous réduisent à souffrir, à vieillir, dans des conditions désastreuses alors que nous pourrions vivre en pleine forme de la naissance jusqu’à la mort, à 150 ans…
Non, on nous fait vivre dans la peur, dans le « je ne sais pas des médecins », dans le refus des scientifiques de l’acceptation d’avoir pris le mauvais chemin. Et quand on leur dit que l’on a trouvé les causes, ils répondent : « on n’y a pas pensé ». C’est un peu léger, n’est-ce pas ? Et du monde politique jusqu’aux scientifiques, on nous dit qu’on a tout essayé et qu’il faut accepter l’habitude.
Il en est de même dans notre économie qui est devenue une économie vieillissante hormis quelques secteurs. On refuse de la rajeunir, de la rénover. On refuse d’innover, on préfère accepter les décisions du passé. C’est plus simple, n’est-ce pas ?
Sous prétexte que c’est le Général de gaulle qui a créé les forces sociales et économiques (mais en des temps où la mondialisation n’existait pas), on refuse de faire transférer les charges sociales sur le budget de l’État, ce qui est la condition sine qua non de notre compétitivité.
Ce sont des survivants du gaullisme qui n’ont pas le courage d’appliquer le concept du Général de Gaulle.
Ce concept était de tout innover sans cesse et de transformer la France quand cela est nécessaire. Ce sont ceux-là même qui sont au pouvoir et qui ont peur des syndicats. Mais qui sommes-nous devenus ?
Les syndicats ne sont pas des idiots dès lors qu’on leur explique l’intérêt des innovations sociales : ils le comprennent. Ce sont les mêmes causes : les décisions prises en 1945 ont fait la fortune de la France et aujourd’hui ces mêmes décisions engendrent la pauvreté.
On parle toujours des milliardaires mais ce sont des gens qui ont eu une bonne idée à un moment donné et qui ont su la faire fructifier. Mais les milliardaires d’aujourd’hui ne reposent que sur des montagnes de papier et tout peut s’écrouler du jour au lendemain si l’on crée de nouvelles techniques, de nouvelles découvertes sanitaires, si l’on accepte de rajeunir la France. Tout peut s’inverser d’un jour sur l’autre et je ne suis pas très convaincu qu’ un milliardaire soit un homme heureux. Je préfère avoir la santé et être en pleine forme toute ma vie durant que d’être milliardaire. Ce n’est pas ce chemin-là qui est pris aujourd’hui par les politiques comme par les scientifiques.
On prétend avoir trouvé le graal avec les vaccins mais le graal n’est jamais du temporaire.
Il est du domaine du définitif et ce n’est pas le cas du vaccin. De toute manière le vaccin prévient le mal mais il n’est jamais définitif. C’est durant toute sa vie qu’il faudrait se protéger. Le graal, c’est de trouver et de tuer la cause. Et, là encore, ce n’est pas le chemin qui a été pris d’autant plus que l’on connaît les causes et que l’on connaît les solutions, tant pour les virus que pour les cancers.
Malgré mon âge avancé, je poursuivrai mon combat j’arriverai à convaincre, dans l’intérêt général.
L’argent que nous avons aujourd’hui n’est qu’un château de sable sur une plage déserte. Et ce château de sable disparaîtra à la prochaine marée.
LA FRANCE VIEILLIT TROP VITE
La France vieillit trop vite, tant sur le plan de son existence que sur celui de son économie.
La France ne prend pas le train en marche, hormis quelques secteurs. La France cumule un retard dans toute son industrie. La France refuse les causes, refuse l’évidence, refuse le développement de l’énergie nucléaire qui est pourtant la plus écologique et la plus économique. A force de tout refuser, on finira par ne rien avoir.
L’énergie ne se stocke pas et les énergies intermittentes ne permettront pas de vivre normalement car dans tous les pays, on vit jour et nuit. Nous allons avoir besoin de doubler notre production d’énergie en moins de dix ans. Comment peut-on faire avec des énergies dites « renouvelables » qui ne produisent que de manière intermittente ? Demain, nous allons reprendre notre industrie, tôt ou tard, industrie mécanique, industrie chimique, industrie sanitaire et, pour ce faire, on ne peut compter que sur l’énergie nucléaire.
Aujourd’hui, plus de 50% de ce que nous consommons est fabriqué en Hongrie ou en Chine.
Considérer le quantique comme une grande découverte est une erreur car le quantique existe déjà dans la nature. Le quantique est une superposition d’énergie, une superposition d’électrons. Mais le rayonnement solaire nous fournit déjà tout cela.
La France, aujourd’hui, a bien du mal à accepter tout ce qui est novateur tout ce qui met en cause, tout ce qui est la base de notre vie. En fait, on n’invente pas grand-chose, on découvre seulement ce qui existe et que l’on n’utilise pas.
Aujourd’hui, on vieillit trop vite et l’on n’utilise pas les talents de chacun.
Il suffirait pourtant de le vouloir. On a un peu l’impression qu’on vieillit dès la naissance car on ne cultive pas nos talents, on ne protège pas notre vie. Toutes nos richesses vitales et économiques, il suffit de les ramasser, elles sont à nos pieds. Elles sont l’évidence mais le bon sens n’est pas tellement français…
Ce sera un travail de longue haleine dont je ne verrai probablement pas le résultat, mais je veux y participer de toutes mes forces, tout du moins, celles qu’il me reste, pour construire les fondations d’un nouveau monde et protéger notre civilisation.