Il est peut-être épuisant d’entendre toujours le même mot.
Mais le mot « éradiquer » est le seul mot du dictionnaire que nous devons utiliser pour mettre fin à cette guerre mondiale. Et, dans cette guerre de l’invisible, il nous faut choisir l’arme invisible ou peut-être… trop visible.
Le soleil, nous le voyons de nos yeux, c’est la lumière mais à l’extrémité du spectre de la lumière, on trouve l’ultraviolet. Éradiquer et ultraviolets sont les deux mots qui s’accouplent pour détruire.
Je pense que nos dirigeants sont aveugles, ils ne voient pas la lumière, même au pays des lumières. On parle de la science mais refuse-t-on ce que la science nous offre ? A-t-on seulement une autre solution crédible ?
J’aurais tendance à reprendre les mots de La Fontaine : qu’on a souvent besoin d’un plus petit que soit.
Mais l’invisible serait-il plus grand que nous ?
Ne pas prendre les armes qui sont mises à notre disposition et ce, dans le monde entier, c’est montrer à quel point la science n’en est qu’à ses débuts. On fait de la recherche mais on refuse d’appliquer ce qui existe.
Oui, à l’invisible, il faut opposer l’invisible. C’est cela l’éradication. Et quand on éradique, il n’y en a plus qu’un qui reste : c’est l’homme. Une fois le virus éradiqué, il n’y a plus de maladie.
Est-ce vraiment ce que l’on cherche ? On peut se poser des questions…
L’heure n’est pas aux gémissements, l’heure est au combat. Alors, osons combattre !