Il n’y aura pas de miracle, ni sanitaire, ni économique.
Compter sur la chaleur de l‘été est hypocrite. C’est la négation même de tout ce qu’on a pensé jusqu’à ce jour alors que l’on ne reconnaissait pas la chaleur comme remède. Oui, c’est la solution crédible que j’avais proposée dès le mois de mars de l’année dernière : utiliser la chaleur comme principal remède.
Les scientifiques s’y sont opposés et pourtant, l’an passé, pendant l’été, comme par hasard, il n’y avait pratiquement plus de cas de COVID. La courbe avait changé de sens. Et dès que revint la première vague de froid en automne, les cas de contamination ont réapparu en masse.
Non, Monsieur le Président de la République, il n’y aura pas de miracle même si les scientifiques se prennent pour Dieu, ils n’ont pas le monopole de la vie.
Pour le virus, comme pour le cancer, les alternatives aux solutions scientifiques sont évidentes.
Mais utiliser le plus simple est souvent le plus compliqué. La chaleur est déterminante pour le virus. Les ultraviolets les achèvent et les détruisent là où la chaleur n’entre pas. Ils sont même cultivés dans tous ces espaces frigorifiques et il y en a des millions en France, du plus petit au plus grand.
Il en est de même pour le cancer dont j’ai dévoilé la cause et donné la solution pour l’enrayer ainsi que toutes les grandes maladies.
Monsieur le Président, vous avez dit, l’autre jour, que le virus s’était l’affaire de tous, de nous tous : c’est bien vrai mais pas nécessairement de la manière que vous le pensez. Ce n’est pas nécessairement, ni les masques, ni la distanciation, qui sont les solutions. Dans les grandes surfaces alimentaires, le brassage qui est provoqué par la ventilation rend caduque toute distanciation.
Alors, il faut revenir au bon sens et à l’évidence et ce ne sera pas un miracle, ce sera l’évidence, tout simplement.
C’est en amont qu’il faut tuer les virus et c’est dès la naissance qu’il faut éviter le cancer.
L’un et l’autre ont pour cause des éléments extérieurs à notre corps. Il suffit de les réguler ou de les tuer avant qu’ils ne nous atteignent. Tous les espaces frigorifiques sont des incubateurs de virus. Il faut donc les tuer là où ils sont et, par conséquent, les empêcher de se développer.
Je ne prétends pas avoir le monopole de la vie, je ne suis qu’un simple ingénieur. Je suis avant tout un combattant du monopole. Et l’on voit à quoi nous conduit le monopole.
Monsieur le Président, tous ceux qui prétendent détenir des monopoles sont dangereux pour notre vie et pour notre économie. Tout monopole entraîne jusqu’au désespoir. Il empêche toute initiative, toute création, toute recherche et il ne fait que creuser le fossé entre les classes sociales. Les monopoles violent la vie.
Non, il n’y aura pas de miracle.
On finira peut-être par avoir des vaccins, l’année prochaine.
Mais si les vaccins permettront peut-être d’éviter la mort, ce qui est moins sûr d’ailleurs, en aucun cas ils ne tueront le virus. Ce n’est d’ailleurs pas l’objectif des scientifiques.
Je vous en supplie, Monsieur le Président, la voix de l’évidence et du bon sens pulvérise tous ces vaccins qui ne font qu’affaiblir l’homme. Oui, il faut vous affranchir de tout le système scientifique actuellement en place. Il nous conduit au désastre, par intérêt, car c’est son fonds de commerce.
J’ai même entendu des professeurs dire « ce sont des vieux, cela ne changera pas grand-chose à notre économie ». Mais où est le serment d’Hippocrate dans tout cela !
A bientôt.