Aujourd’hui, un monde sépare les mathématiques de la médecine. Ce sont des études différentes et pourtant l’un ne peut être efficace sans l’autre.
Toute maladie, tout virus, ne peuvent se résoudre sans l’aide mathématique, mathématique classique et mathématique quantique. Et c’est en associant les deux : médecine et mathématiques, que l’on parviendra à faire des miracles.
Va-t-on obliger les mathématiciens à faire de la médecine et les médecins à faire des mathématiques ? Il est vrai que la finalité n’est apparemment pas la même et pourtant rien ne pourra se faire réellement, l’un sans l’autre.
Je ne sais pas si cela est possible et nos services de recherches devraient se poser la question.
Aujourd’hui, on utilise, d’une part la médecine, et d’autre part, les mathématiques : ce ne sont pas les mêmes personnes. Comment, dans ce cas, pouvoir les faire fusionner ?
Il y a de cela quelques années, on a pensé utiliser l’hydrogène pour remplacer les produits carbonés. Il y a 70 ans, on a pensé utiliser l’énergie nucléaire pour en faire de l’énergie civile.
La médecine, c’est l’histoire d’un corps, c’est aussi l’histoire de la vie. Il me semble utile d’utiliser les mathématiques et la médecine conjuguées, pour parvenir à de meilleurs résultats.
Aujourd’hui, chacun est dans son coin et se regarde en chiens de faïence.
Aujourd’hui, chacun est dans son coin et se regarde en chiens de faïence et pour tout, c’est la même chose. On ne sait pas utiliser l’un avec l’autre. Ne serait-ce pas nos systèmes universitaires qu’il faudrait modifier ? Ne copions pas le système américain où la spécialisation fait rage. Conservons le système français où l’on essaie de pérenniser l’alchimie qui est nécessaire pour pouvoir fusionner les mathématiques et la médecine.
Faire de deux mondes un seul n’est pas évident mais quand il s’agit de la vie, j’aurais tendance à dire qu’il faut le faire quoi qu’il en coûte.