Pour assurer un bon déconfinement, ne faisons pas la même erreur qu’au mois de juillet. Il est hors de question de déconfiner tant qu’on n’aura pas tuer le virus. Empêcher le virus de circuler veut simplement dire qu’il continue à exister. Déconfiner serait un suicide collectif dans les conditions actuelles.
Un bon déconfinement pour qui ?
L’Etat, pour protéger je ne sais qui, semble oublier que c’est le peuple qui en supporte les conséquences. L’Etat ferait tout pour ralentir la solution qui est la seule existante. Mais on finirait par s’y habituer, comme pour la grippe ou pour le cancer.
Et comme le virus est partout nous dit-on, eh bien, c’est partout où il faut aller le tuer : c’est la grande guerre. Mais on ne fait pas la guerre sans chasser l’ennemi.
Michel Leclerc
Les vieilles méthodes toujours opérantes
Elles ne sont pas toujours si mauvaises que cela et elles ne coûtent rien. On a cru bon de mettre dans la loi d’imposer toute désinfection quand il y avait des épidémies ou des vagues de virus ou bactéries infectieux. Ce n’est pas le hasard. Le bon sens était peut-être beaucoup plus au rendez-vous qu’aujourd’hui où l’argent prime sur toute chose.
Demain, ce sera la grippe qui, au passage, malgré les vaccins, fait chaque année entre 10 et 15 000 morts. Mais on s’y est habitué… c’est le prix à payer, dit-on.
C’est ce que j’appelle de la collaboration scandaleuse avec les laboratoires et les Conseils Scientifiques. Aujourd’hui, on nous demande de vivre « avec »…, faut-il être descendu bien bas !
Dire qu’on a tout essayé est faux. On a oublié l’essentiel, le bon sens.
Il en est d’ailleurs de même pour le cancer qui fait 220 000 morts chaque année… et on s’y est habitué.