Le circuit médiatique n’a plus de chef d’orchestre ; la COVID-19 est éradiquée par la canicule.
Alors, que va-t-on faire ? On va aller chercher les Français qui n’ont rien demandé pour créer artificiellement une COVID-19 qui n’a plus aucune dangerosité mais qui fait bien dans le tableau des cas déclarés.
Au lieu d’être négatif, ne serait-il pas mieux et plus efficace de faire des médias le bras armé d’une chasse, non pas à l’homme, mais à la COVID-19 qui peut encore survivre ou se cacher dans les lieux où le soleil ne pénètre pas ? Et là-encore nous savons le faire.
Nombreux sont, aujourd’hui, les industriels qui ont mis au point, soit des appareils, soit simplement de petites lampes, à ultraviolets qui permettent de nettoyer toutes les surfaces, en quelques secondes, de la présence éventuelle du virus.
On ne peut pas envisager, une seconde, de réduire notre pouvoir d’achat par des masques coûteux, par des tests coûteux, directement ou pour la Sécurité Sociale. Nous n’en avons plus les moyens.
Il nous faut, aujourd’hui, utiliser les moyens mécaniques dont nous disposons. Le social, la santé, c’est important mais si demain il n’y a plus d’économie, où ira-t-on chercher les moyens nécessaires ?
Nous n’avons aucun élément sérieux qui permette de dire qu’il y aura une deuxième vague de COVID-19. Les cas annoncés ne sont qu’artificiels et n’ont aucune dangerosité, ni de contamination, ni de développement.
Mettre sous cloche les Français va développer leur colère. Mettre les masques créera plus de morts et de maladies que la COVID-19. J’ai peine à croire que ceux qui conseillent de mettre des masques, que ce soit en entreprise et bientôt dans la chambre à coucher !, pensent sérieusement que le masque soit efficace.
En revanche, il est du devoir de l’Etat de cesser d’importer le virus, soit en provenance d’Asie, soit d’Afrique ou des Amériques. Aujourd’hui, les cas recensés dans nos hôpitaux sont infimes mais ne proviennent pas de France, ou si peu.
Il faut oser dire la vérité. L’immigration, dans les conditions actuelles, ne peut pas se poursuivre. Les transports aériens en provenance de ces zones actuellement infectées, en période d’hiver d’ailleurs, ne peuvent continuer à se poser sur notre sol.
On peut transporter la marchandise ; ce n’est pas le problème. Faudra-t-il encore que dans les cargos qui la transportent, on fasse le nécessaire afin que les surfaces des produits importés, subissent aussi le processus de désinfection et d’éradication du virus.
La COVID-19 circule, dit-on, mais elle circule surtout par ces voies aériennes et par mer. Si elle n’est plus dangereuse chez nous, il n’est pas nécessaire d’en importer d’autres souches de l’extérieur.
La COVID-19 a quelque peu ébranlé nos cerveaux par la peur mais, aujourd’hui, il n’y a plus de raison d’avoir peur, plus personne ne mourra de ce virus, en France, excepté eux qui sont actuellement encore dans un coma artificiel depuis x mois. D’ailleurs, ils ne mourront pas de ce virus mais d’une des pathologies dont ils souffraient auparavant.
Aujourd’hui, nous nous apercevons que nombreux sont ceux qui, dans le monde médical, se tournent vers la solution du développement de notre système immunitaire davantage que par le port des masques.
Espérons que tout ceci ne sera bientôt plus qu’un mauvais souvenir.