Des événements désastreux se multiplient depuis deux ans. A ce niveau-là, il faut peut-être se poser la question : « est-ce que l’on fait ce qui doit être fait pour aujourd’hui et pour demain ? « Est-ce que les conseillers du Président sont des visionnaires ou simplement des gens intéressés ? ». Je pense tout de même que, sur le nombre, il y aura quelques génies qui feront apparaître l’intérêt général en faisant passer au second plan les intérêts personnels et politiques.
« Père, faites attention à droite, faites attention à gauche » : Monsieur le Président, il en est de même pour vous. De votre droite et de votre gauche, vous êtes devenu l’otage. On distribue l’argent que l’on n’a pas. Le Liban est devenu la préoccupation du Président mais il y a aussi le Mali où l’on tue les Français. Il y a aussi ceux qui souhaitent que le coronavirus revienne. Boucher des trous, éteindre un incendie, c’est bien, mais c’est un rêve.
La France pleure, son peuple pleure et l’on distribue un programme illusoire dont on sait pertinemment qu’il ne sera jamais appliqué.
On a vendu les bijoux de famille pour boucher les trous. On a réduit la France en usine d’assemblage, on a détruit l’industrie, on ne produit plus rien, on importe sans bien savoir ce que l’on fait sans regarder le danger que cela engendre. Il ne suffit pas de dire que la France est la plus belle du monde, la meilleure. Tout cela, c’est du passé. On a vécu sur nos acquis. Aujourd’hui, on vit à crédit.
Le travail est martyrisé : produire n’est plus l’objectif. L’objectif aujourd’hui est d’acheter sans même regarder la durabilité de ces produits, la qualité de ces produits que nous achetons, certes, à bas prix mais qui, en fait, nous reviennent plus cher. Est-ce une bonne économie ?
Le peuple de France achète à l’étranger parce qu’on l’y a conduit car on ne trouve plus rien à acheter en France. Certes, il nous reste le luxe et le tourisme car la France est attractive sur ce plan, heureusement. Mais aujourd’hui, avec la COVID-19, on a fait un trait sur le tourisme. Alors que reste-il : le luxe, pour les plus riches ? Mais les Français ne sont pas riches, et, pire que cela, le peu d’économie qu’ils possèdent va fondre dans les jours et les mois qui viennent et être remplacé par du papier sans valeur. Ceux qui auront eu la sagesse d’acheter de l’or ou de l’immobilier, auront fait une bonne affaire car l’or a plus que doublé et les crédits qui ont été réalisés ne seront remboursés qu’à la valeur du jour, c’est-à-dire à 50 % de leur valeur.
Va-t-on être obligés d’acheter une remorque et de l’atteler à l’arrière de notre voiture pour transporter les billets nécessaire pour acheter une baguette de pain ? On y laissera une petite place pour les masques que l’on nous impose… Il est certain que, dans ces conditions, on n’y voit pas clair.
Il n’y a qu’une industrie qui marche réellement bien, ce sont les usines qui impriment les billets de banque ! Mais, là encore, la pâte à papier, on l’importe… Mais quand va-t-on ouvrir les yeux ?
Monsieur le président, il n’y a pas grand monde aujourd’hui qui voudrait être à votre place. Il y a trop de choses, trop d’événements qui viendront bousculer votre autorité.
Je me pose une question : « faudra-t-il placer dans la remorque une COVID-19 ? C’est peut-être ce que souhaitent les spéculateurs et les tricheurs, y compris dans le monde médical. On a voulu nous faire croire que le soleil n’y était pour rien. Et bien c’est lui qui sauvera l’humanité et aussi la France.
Je veux bien que l’on utilise les masques car il faut bien consommer les stocks qui ont été constitués, mais est-ce bien raisonnable. Là encore il y a des voix qui s’élèvent pour dire qu’ils sont beaucoup plus dangereux qu’on ne le croit. Un danger que nous allons payer à long terme et qui fera plus de dégâts que la COVID-19. Mettre un masque, c’est réduire notre système immunitaire, c’est prendre le problème à l’envers. Mais nous avons l’habitude d’accepter ce qui n’est pas de nature à nous protéger.
Oui, l’homme doit se battre tous les jours contre les effets de Dame Nature mais il doit aussi profiter d’un certain nombre d’effets de cette nature, voire d’un certain nombre de produits naturels que l’on interdit en France, tel que l’Artémisia.
Le Liban est au bord de la révolution mais la France n’en est pas très loin.