En leur faisant respirer, dès les premiers symptômes du Covid-19, de l’air et de l’oxygène à 15 ou 20°, on aide le Covid-19 à faire des ravages dans les poumons. On ne consolide pas le système immunitaire qui est le seul à se défendre.
Il faudra, un jour, donner des explications aux familles qui ont perdu l’un des leurs. La communauté scientifique a de lourdes responsabilités pour incompétence notoire. Les Etats sont aussi responsables par leur imprévision ; les masques n’étaient pas au rendez-vous, les appareils respiratoires non plus.
Aujourd’hui, la bataille est quasiment terminée, dès lors on aura des masques en abondance et des appareils respiratoires à ne savoir qu’en faire. Ils vont être mis au placard. Ils serviront peut-être un jour si prochaine attaque il y a. A moins qu’on ne les détruise auparavant.
Je ne parlerai même pas de l‘OMS et des Conseils de l’Ordre qui se cachent derrière leur petit doigt en renvoyant leurs responsabilités aux médecins, ou encore à la Chine (qui est loin d’être blanc bleu, d’ailleurs). Une fois de plus, on renverra les responsabilités sur les autres.
Non seulement on n’a pas prévu, mais aujourd’hui on n’est même pas capable d’assumer. Et comme d’habitude, on va s’y habituer. Et comme d’habitude, on ne parle plus du cancer et de la grippe, ni des autres maladies ; une fois de plus on entendra : « je ne sais pas » ou encore : « on a tout essayé ».
On accuse des médecins d’avoir essayé et d’avoir réussi envers et contre tous. Quant à moi, on m’accuse d’être un farfelu pour avoir trouvé les causes et les solutions.
On préfère laisser mourir nos aînés et nos enfants par Covid-19 ou par cancer.
On n’a pas compris encore, dans notre pays, que pour avoir un résultat définitif, il est nécessaire d’affronter l’évidence. Va-t-on continuer encore longtemps à économiser des bouts de chandelle et à passer à côté de l’essentiel ?
Oh !, les bons sentiments explosent de partout : « il faut faire passer la vie avant les économies », mais ce ne sont que des bons sentiments.
Et chose curieuse, c’est encore l’argent la spéculation, qui aura tué.