Cette baisse sera engendrée par le transfert des charges sur le travail vers le budget de l’état. Quel en sera les résultats ?
- Accroissement de la consommation intérieure par le nouveau pouvoir d’achat.
- La fin de la fraude sur la TVA qui coute très cher à l’état pour tous les produits importés par les particuliers.
- Une réduction massive des importations en provenance d’Asie.
- La fin des grèves de toutes sortes.
- Un climat de confiance qui se rétablit.
- Le problème des retraites ne sera plus que du passé et la fin des maladies obligera une remise à plat de tout le système économique y compris des charges sur les salaires.
- L’exportation sera massive grâce à la compétitivité vers tous les pays européens mais aussi vers la Russie, l’Inde, la Chine, l’Afrique, l’Amérique du Sud. On multipliera ainsi par 3 nos exportations y compris nos matériels militaires.
- La possibilité de livrer 500 000 tracteurs à l’Afrique avec tous les équipements nécessaires.
- Mettre fin à l’infiltration chinoise en Afrique qui tôt ou tard sera obligée d’augmenter ces prix créant ainsi un important différentiel par rapport à nos importations.
En contre partie et pour une période de 5 à 7 ans, il sera nécessaire de mettre en place ce que l’on appelle la TVA sociale de l’ordre de 3 points et de 1 à 2 points pour la CSG.
Enfin, ce sera la fin des grandes maladies par la découverte de la cause, 250 milliards d’euros de dépenses seront supprimés par la sécurité sociale et ce sera un accroissement de productivité de 15% à 20%.
Les besoins de mains d’œuvres générés par les ventes internes et externes mettront fin au chômage qui sera réduit à moins de 500 000 chômeurs. Voilà ce qu’on peut appeler une bonne économie.
Voilà à quoi nous conduira la baisse des prix : à notre président et au gouvernement qui mettra en application un tel programme souhaité par tous, de droite, de gauche et de tous les syndicats. Ce sera enfin la paix sociale en France.
Les moyens seront donnés par les taxes sur les produits vendus pour réduire le réchauffement climatique provenant d’Afrique où il sera nécessaire de remettre en culture 10 % du Sahara.