Lorsque les dirigeants de la Nation France se sentent incapables de résoudre les problèmes du chômage et de la pauvreté, ils se servent de l’expression « impossible, on a tout essayé ».
- Dire que c’est impossible, n’est pourtant que le leitmotiv d’une incompétence.
- Dire que c’est impossible, n’est pourtant que le leitmotiv d’une faiblesse.
- Dire que c’est impossible, on le sait n’est pourtant pas français.
La Nation France doit se relever
Michel Leclerc : « Quand je me suis attaqué aux monopoles en France – celui des pompes funèbres, des carburants ou encore celui de la vente automobile – c’était impossible de l’avis de tous. Pourtant, aux bonnes volonté, rien d’impossible. C’est pour cela que j’y suis arrivé et je n’ai pourtant rien d’un aigle !
J’ai juste cette volonté de supprimer tout ce qui entrave l’intérêt général et tout ce qui n’est que l’œuvre d’un clan de spéculateurs ou encore de profiteurs contre les intérêts de la France et qui se permettent de profiter de la souffrance des Français. »
L’État français finance le droit de tuer de nos armées si nécessaire, pour nous défendre et pour la paix.
L’État français doit financer le droit de vivre de notre peuple c’est si nécessaire, pour nous protéger dans nos vies et de notre santé quel qu’en soit le prix.
Chacun comprendra l’intérêt d’être raisonnable sur ce chemin. La paix a son prix, que nous avons chiffré, notre vie aussi.
Le coût de la vie doit devenir raisonnable
Il n’est pas normal d’avoir à se servir de mutuelles payées à prix d’or pour compenser la carence de l’État. Les mutuelles ne sont que des parasites spéculateurs qui cherchent à constituer un monopole par la carence de l’État.
Notre vie ne doit pas servir par le fait à constituer des monopoles sous le couvert de prétendus bons samaritains.
La constitution de mutuelles qui agissent contre leurs adhérents ne font qu’accroître les inégalités selon que l’on soit riche ou pauvre. La paix comme la vie doivent rester sous la responsabilité totale de l’État. C’est un engagement de tous et tous doivent en bénéficier comme y participer.
Un chef d’Etat est un chef de guerre ; il a le pouvoir de tuer. Il a aussi un devoir, celui de protéger nos vies de la maladie et des accidents. Tout ceci était prévu dans les Ordonnances de 1945 et dans la Charte des Droits de l’Homme.
Le choix de ce Président sera capital pour notre avenir et celui de nos enfants. Il n’a pas le droit de se fourvoyer, ni celui de nous tromper.
Oui aux moyens donnés aux armées.
Oui aux moyens donnés aux services sociaux sans pourtant affaiblir notre économie et notre puissance dans le monde.
La Loi de 1945 a vécu. Même le créateur de cette Loi, le Général de Gaulle et mon frère, Edouard Leclerc, voulaient la modifier parce qu’ils avaient réalisé le handicap du financement actuel et ils voulaient le transférer sur le budget de l’État.
De toute manière, pourquoi en douter puis hésiter, car cela sera tôt ou tard une obligation. Il vaut mieux réaliser dès aujourd’hui sans y être contraint demain.