C’est un devoir pour chacun mais aussi et surtout pour l’Etat de tout faire pour se protéger des maladies et non des moindres, entre autres : le cancer, la maladie d’Alzheimer, le Parkinson.
Ce n’est pas une solution de confort, c’est une solution vitale.
Nous sommes bombardés, deux jours sur trois, par des anticyclones dont on ne peut imaginer la puissance.
Or, on ne vit que par l’oxygène qui permet de faire vivre les cellules et de les brûler quand cela est nécessaire, tout à fait naturellement. Vous coupez l’oxygène véhiculé par le sang, les cellules meurent mais ne sont pas éliminées et ces cellules mortes vont former un magma qui provoquera des tumeurs ouvrant ainsi la porte à de multiples maladies.
Il faut distinguer la mort d’une cellule et son élimination ; les cellules ne sont pas brûlées et donc ne sont pas détruites et se révoltent en formant ce que j’ai appelé des tumeurs mais que l’on appellera aussi cancer. Et cela est valable pour toutes les cellules du corps à quelque endroit qu’elles se trouvent.
Couper l’oxygène des cellules, c’est fragiliser la totalité du corps.
La pression atmosphérique en est le couperet quand elle dépasse certaines limites. Evidemment, cela est valable pour tout un chacun mais un homme déficient verra ses tumeurs se développer rapidement. D’autres cellules mortes parviendront à s’évacuer mais toujours avec le danger de déclencher une maladie.
L’Etat a le devoir de mettre à la disposition des Français les moyens de se protéger, non pas pour le confort, mais pour une raison vitale.
Oui, c’est le devoir de l’Etat et, là-encore, le savoir et ne pas agir fait passer de responsable à coupable.
C’est d’autant plus important qu’en protégeant les Français de la pression atmosphérique, c’est au moins 50 % des maladies et des cancers que l’on évitera. Ce n’est pas la Sécurité Sociale qui s’en plaindra.
Alors, mettons en place cette protection qui est reconnue d’ailleurs par un certain nombre de chercheurs ou médecins de cancérologie tel que le Dr Schwartz et quelques autres qui ont mis en évidence qu’en temps normal c’est l’oxygène qui fait naître, vivre et brûle les cellules qui se reproduisent sans cesse tout naturellement. Ils ont reconnu que couper l’oxygène, c’était le commencement de tout un dérèglement de l’organisme.
Il est donc très urgent de se protéger de la pression atmosphérique tant sur le plan vital que sur le plan économique.
Il va de soi que le rôle de l’Etat est capital en commençant dans les hôpitaux, dans les maisons de retraite mais aussi envers tous les plus faibles. Il importe donc de réguler également la pression atmosphérique chez soi mais aussi sur tous les lieux de travail.
Non, Messieurs, ce n’est pas de la folie, c’est la réalité. Sans oxygène, pas de vie.