Il est probable que le moyen choisi soit le théâtre de mouvements guerriers alimentés en armes, souvent par la France. Ce sera, pour notre pays, le développement d’une industrie florissante et imaginative… une industrie de destruction. Mais, bien souvent, les armes que l’on produit et que l’on vend, sont comme des boomerangs qui nous reviennent indirectement.
Une arme à déflagration
Cela pourra aussi se produire au détroit d’Hormuz comme cela fut le cas au canal de Suez, il n’y a pas si longtemps car il fallait protéger notre pétrole ; cela pourrait être le cas une fois de plus. Mais les États-Unis, aujourd’hui, n’ayant plus besoin de pétrole, ils regarderont les Européens se battre.
De plus, dans toute cette guéguerre, la Chine, elle aussi, a besoin de beaucoup de pétrole et, sans pétrole ou avec un pétrole très cher, elle deviendra moins compétitive.
Il est plus qu’urgent de supprimer cette dépendance au pétrole, non pas par des énergies renouvelables coûteuses, mais surtout par le nucléaire de demain qui sera alimenté non plus par de l’uranium mais par du thorium au moyen de mini-centrales individuelles.
Bien sûr, nous parlons toujours de compétitivité mais que faire dans un marché mondial s’il n’y a plus de compétitivité ? Ceux qui croient que l’énergie nucléaire va disparaître, se trompent lourdement. C’est la seule ressource qui soit économiquement fiable, et demain plus qu’aujourd’hui.
Je pense aux événements qui viennent de se produire en Russie où, par malheur, un lanceur à propulsion nucléaire a explosé au Nord du pays. Mais ce n’était qu’un essai, cela n’exclut absolument pas les propulseurs nucléaires de demain. Cela veut bien dire aussi, comme je vous l’ai déjà écrit, que la Russie aura bientôt ses soucoupes volantes à propulsion nucléaire, comme les Etats-Unis et comme la France. Et lorsque l’on parle de soucoupe vous savez bien qu’il ne s’agit pas de voir des petits bonhommes verts en descendre… Toutefois, il faut reconnaître que les Etats-Unis ont une longueur d’avance sur nous dans cette technologie.
Aussi, la guerre qui va se produire, sera une guerre économique entre la Chine, l’Europe et les Etats-Unis et peut-être la Russie. Plus que jamais, je fais appel au bon sens des Européens pour que la Russie entre dans l’Europe. Elle sera peut-être notre protectrice nucléaire.
C’est vrai, l’Europe est dotée d’ogives nucléaires mais, hormis ses porte-avions et ses sous-marins, la France n’a pas de vecteur suffisamment rapide pour intercepter les soucoupes volantes qui, elles, sont dotées de plusieurs ogives nucléaires. Et je rappelle, tout de même, que ces vecteurs porteurs de bombes nucléaires, qu’il ne faut mélanger avec le nucléaire civil qui n’a strictement rien à avoir, ne pourront être interceptés par quelque vecteur que ce soit qui existe actuellement, que ce soit à travers la Chine, la Russie ou l’Europe.
En un mot, à ce jour, seuls les Etats-Unis possèdent les vecteurs pour détruire avec précision telle ou telle capitale à quelque point que ce soit du globe. Leurs vecteurs étant à propulsion nucléaires, ils ont la possibilité de faire, avec quelques centaines de grammes de thorium, 3 à 4 fois le tour de la Terre sans le moindre ravitaillement et de se poser n’importe où et de repartir de n’importe où…
La France est encore en retard Monsieur le Président
La France aussi aura ce moyen mais avec quelques années de retard, comme toujours.
Alors, pour l’instant, d’où viendra l’étincelle de la crise ? Ce n’est peut-être pas utile d’aller le chercher bien loin et en tous cas pas dans la guerre nucléaire mais simplement par un crédit affolant dans lequel tous les pays se sont embourbés. De plus, il en est certains qui sont à présent à plus de 100% du PBI et donc en danger de mort.
Il ne faut pas être naïf, une guerre quelle qu’elle soit et d’où qu’elle provienne, profite toujours à quelqu’un. Espérez-vous Monsieur Emmanuel Macron en tirer profit ?
Oh ! bien sûr, tout le monde essaie de cacher sa dette mais elles sont bien réelles et vont se faire ressentir sur notre pouvoir d’achat.
L’étincelle qui provoquera la crise peut se produire en quelques minutes par la vente massive de créances sur les marchés financiers, probablement émanant de la Chine qui pourrait être privée de pétrole.
J’implore Monsieur le Président Macron de résoudre d’urgence le problème du financement des cotisations sociales et des retraites en appliquant le plan de relance que je propose afin que la France se mette en position de « redépart » dès que la crise sera passée. La France évitera ainsi de lourdes conséquences d’après crise qui pourraient ruiner son économie.
Michel Leclerc
Les Français ne vous le pardonneraient pas, Monsieur le Président et davantage, parce vous le savez.