Vivre n’est pas un crime

Se soigner dans les conditions actuelles n’est pas compatible avec la vie.

La nature se venge chaque jour car nous l’attaquons sans cesse.

Mais elle, elle veut survivre.

La nature n’aime pas que l’on touche à ses prérogatives.

Elle se venge en portant atteinte à la vie.

Il faut dire que l’homme a tout fait pour troubler la nature.

La vie, qu’il ne faut pas confondre avec la nature, finira par gagner si on régule les effets néfastes de la nature.

L’homme est le gestionnaire de sa vie et ce n’est pas avec de la chimie qu’on y parviendra mais par des moyens mécaniques et électriques.

Réguler nos constantes, c’est conserver la vie et l’on est responsable de cette vie.

L’homme doit éviter d’avoir à soigner. Il doit éviter les conséquences d’une nature en folie.

 

A-t-on perdu la raison ?

Que ce soit au plan politique, économique ou sanitaire, l’évidence fait peur.

Toutefois, mettre ce manque d’évidence exclusivement sur le dos des politiques ne serait pas honnête.

La recherche dans le sanitaire a failli au plan mondial.

Quant à nos politiques, ils sont descendus d’un cran face aux difficultés.

  • Est-ce la France malade qui en serait la cause ?
  • Est-ce l’école ou l’université qui n’ont pas suivi un développement trop rapide ?
  • Est-ce le nombre de génie qui se serait réduit ?

On peut toujours trouver de bonnes raisons mais l’évidence est toujours là. Ce sont les éléments les plus simples qui sont les plus évidents.

Les techniques se sont envolées, les vitesses sont devenues incontrôlables et, pendant ce temps, le niveau d’instruction de nos jeunes n’est peut-être plus à la hauteur des espérances de la France.

L’effort, la santé, ne sont plus au rendez-vous.

Mais, alors, que faire pour que vive la France ? Baisser les bras et attendre une mort certaine ? Non, nous allons relever le gant par la santé, par le bon sens.

Ce sera davantage à la hauteur de notre pays. La décadence ne mène nulle part. le travail, et quel travail, et dans quelles conditions, peut apparaître comme l’apanage de l’espérance que nous attendons tous, celle d’une vie dans un autre cycle.

Il faut prendre les bonnes décisions qui apporteront une nouvelle vie, dans un nouveau monde.

Oui, le travail sera désiré. Oui, la santé sera au rendez-vous. Une santé qui ne demande qu’une chose, qu’on la protège comme on protège ces constantes, piliers de notre vie.

Nos désespérances deviendront des exploits. Là où nous avons perdu, nous gagnerons.

La vie est plus forte que la mort. C’est à nous de la gérer.

 

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