A ce jour, 20 sous-marins disposant de têtes nucléaires se trouvent en mer Baltique et en mer du Japon.
A la minute près où la Russie lancerait une bombe nucléaire, 40 bombes nucléaires s’abattraient sur elle et la réduiraient en cendres.
Moscou et Monsieur Poutine seront rayés de la carte, et il le sait bien.
Il n’y aurait donc aucun avantage pour la Russie d’initier un combat nucléaire.
La Russie est encerclée de tous bords et Poutine n’est pas très courageux : la mort lui fait peur.
En revanche, un débarquement de l’OTAN en Russie n’est pas impossible.
Monsieur Poutine acceptera alors une pause et l’on pourra peut-être commencer à parler de paix.
Depuis quelques jours, les missiles à longue portée américains, anglais et français, s’abattent sur les centres militaires russes.
Monsieur Macron a suivi la position anglaise.
Pour le moment, Monsieur Biden, qui est encore au pouvoir jusque fin janvier et qui dispose de 15 000 missiles à longue portée, va en fournir 3 000 à l’Ukraine et la France et l’Angleterre en fourniront autant.
Il s’agit de missiles à longue portée et extrêmement destructeurs.
L’Ukraine espère aussi que l’Allemagne fournira également ses missiles Taurus.
L’homme s’est donné le climat actuel
L’homme a cherché le profit et la rentabilité.
Il a oublié sa vie.
Ne mettons pas la responsabilité sur un Etat ou sur l’autre.
L’effet de serre dont on parle tout le temps n’est qu’une petite partie du climat.
La principale cause, c’est l’argent qui a fait oublier tous les déserts et, je dirai même, qui les a créés.
Et l’on commence à s’inquiéter parce que l’on voit déjà les déserts arriver sur l’Europe.
L’extension des déserts est accablante.
Nous sommes attaqués par des dizaines de bombardements provenant des déserts tels que les tempêtes de sable par milliards de tonnes.
Des nuages de sable recouvrent aujourd’hui la totalité de l’Europe.
L’effet de serre n’y est vraiment pour rien ou, en tous cas, ne résout pas notre problème.
Il faut impérativement que l’on développe tout de suite 1 000 milliards pour créer de nouveaux oasis dans les déserts, des oasis extensibles.
Il y a suffisamment d’eau dans les nappes phréatiques du sol saharien.
Il suffit de la pomper et, pour ce faire, d’installer des mini-centrales nucléaires tous les 100 kilomètres.
Ce sera le plus grand succès de l’homme qui ne fera que réparer son désir d’argent.
En fait, c‘est la peur que ces pays du désert utilisent l’énergie nucléaire à d’autres fins qui nous fait hésiter à leur installer l’énergie nécessaire.
On commence à s’inquiéter maintenant : toujours un peu tard.
La Chine, qui a aussi ses grands déserts, a pris les devants en plantant plus d’un milliard d’arbres qui lui fourniront plus tard le bois qui lui manque.
Il serait peut-être utile de faire la même chose dans les déserts qui nous sont périphériques.
