Trois éléments permettent d’affirmer que la COVID-19 est aujourd’hui purement artificielle :
- dans les hôpitaux parisiens, 40 % des malades qui sont soignés actuellement viennent de l’étranger, des personnes qui ont souhaité se faire soigner à Paris
- le dépistage fait apparaître de nouveaux cas mais ce sont des cas non infectieux ; mais évidemment.. on va les compter dans le nombre des nouveaux cas ; il faut bien justifier le dépistage. Dire qu’un cas dépisté est un cas dangereux, il faudra me le prouver
- les morts actuelles dans les EHPAD ou dans les hôpitaux pour cause prétendue de la CONVID-19, n’étaient que des morts en suspens provenant de la pandémie du printemps.
On nous fait tout un réquisitoire sur les deux, trois ou dix personnes qui sont mortes depuis début juillet, toujours prétendument de la COVID-19 ; il s’agit de cas antérieurs et non depuis juillet, et pour des pathologies qui ne sont pas issues nécessairement de ce virus.
Oui, on relance d’une manière artificielle ce qui aurait pu être une deuxième vague. Ceci est totalement faux tout du moins en France. Il ne faut pas confondre les chiffres officiels et la réalité du terrain. Quand je vois les Directeurs des grands hôpitaux nous dire qu’ils ont deux ou trois cas de COVID-19 sans préciser les autres pathologies du patient, je suis inquiet sur la véracité des choses.
Soigner, c’est nécessaire, éviter c’est beaucoup mieux et quand la COVID-19 est déjà dans votre nez, c’est trop tard ou presque car, même à ce moment-là, s’exposer quelques minutes au soleil, entre 12 et 16 heures sous la verticalité des rayons ultraviolets permet d’éradiquer le virus en vous.
Eviter la COVID-19, c’est d’abord détruire les sources. Il n’est pas question d’une destruction matérielle mais simplement grâce à des lampes et des tubes à ultraviolets.
La relance artificielle de la COVID-19 n’est qu’une imagination destinée à faire peur et à stresser les Français, même durant leurs congés. Mais qui donc a intérêt à ce que la COVID-19 revienne ? Et ce qui beaucoup plus grave, c’est que la peur et le stress amenuisent notre système immunitaire, nous rendant plus vulnérables non pas au virus mort désormais, mais aux autres virus tels que la grippe ou autres que nous ne connaissons pas encore. On voudrait détruire la France que l’on ne s’y prendrait pas mieux !
Je ne crois pas à un vaccin miracle qui, comme pour la grippe, ne nous protégera qu’à 35 ou 40 %.
Je lis consciencieusement tous les chiffres qui sont donnés chaque jour par le Ministère de la Santé, ils sont tous en contradiction avec les dires de certaines Sociétés Savantes, ou tout au moins dites savantes. Le nombre de lits libérés chaque jour est en perpétuelle augmentation.
Alors, on va tenter de faire un amalgame avec la canicule mais, elle aussi, prend fin demain. Ne donnons pas à notre Président d’autres situations désastreuses qui n’existent pas ; il a déjà bien à faire, que ce soit, au Liban, que ce soit au Mali, que ce soit chez nous où il sera nécessaire de résoudre le problème économique. Et il lui faudra un grand costume pour le résoudre.
