On se contente de régler les problèmes au jour le jour, on emprunte tous les jours un peu plus, on promet de distribuer plus d’argent tous les jours en faisant plus de dette.
En un mot, on finit par vivre avec du fictif, le travail ne payant plus ou pas assez, tellement il est chargé.
Tout ceci conduit à plus de pauvres dans notre pays, le peuple de France ne veut pas faire l’aumône et encore moins être soumis à des tricheries et des manipulations de tout genre.
Ils veulent voir disparaitre l’insolence des privilégiés qui se croient investis d’une mission divine mais alors pourquoi ne découvrent-ils pas ? Alors pourquoi cette mission dont ils se croient investis ?
Dans la concurrence internationale d’aujourd’hui il faut créer, innover, découvrir de nouvelles techniques, de nouveaux matériels, de nouvelles idées. La puissance qu’on nous impose dans cette concurrence oublie la force des puissances naturelles qui affaiblissent notre énergie. Les français veulent une philosophie et une stratégie accessibles à tous.
Notre système est figé, on ne voudrait se servir que du passé mais le monde évolue et veut des nouveautés, il veut surtout être protégé.
Notre système éducatif ne fabrique plus de chef, il fabrique des zombies sans charisme que le peuple ne veut plus. Le peuple de France est en colère et pour calmer la colère il faut préparer l’avenir.
Ce n’est pas la spéculation qui facilitera les choses, elle nous détruit de jour en jour. Il ne faut pas confondre investisseur et spéculateur. Le miracle de la multiplication des pains est réservé à Dieu de même que la vie.
La multiplication des euros est à la portée de l’homme.
On utilise trop souvent des placébos mais ils ne calmeront pas la colère. Ne pas créer, ne pas innover ou seulement ne pas découvrir ce qui existe ne peut conduire nulle part.
Il est vrai que dans notre pays, on doute toujours de ce qui est nouveau on a tellement pris l’habitude de vivre dans le négatif. Qu’on ne me dise surtout pas qu’il n’y a pas en France des hommes avec un charisme, des chercheurs avec la volonté de bien faire ou des hommes tout simplement qui ont eu la chance de découvrir ce qui nous crevait les yeux.
Bien sûr il faut des laboratoires, faut-il encore leur indiquer le chemin mais en aucun cas celui du profit immédiat ou de l’argent pour l’argent. A quoi servirait tout ce qui a été découvert ? Ceux qui sont aujourd’hui dans les laboratoires ne seraient pas leurs dignes successeurs.
En fait le hasard n’existe pas. On ne découvre rien par hasard, c’est toujours le fruit d’une constatation.