La Chine, c’est 2 milliards d’individus. C’est pour la France, selon bon nombre de réfractaires, une concurrence irrationnelle, totalement déséquilibrée, par des prix de revient non soumis aux régimes sociaux. Ce sont des produits dont la qualité de production n’a cessé de croître. Et pourtant.
Refuser les produits de Chine serait absurde
On ne peut refuser les produits en provenance de Chine. Pas plus d’ailleurs qu’il serait normal qu’il faudrait refuser l’exportation de nos produits vers la chine. On peut, en revanche, spécialiser la France dans les domaines où notre différenciation est notable avec les produits chinois comme le lait, les produits pour enfants ou les produits alimentaires sur lesquels la suspicion pèse sous le soleil levant.
Il nous faut pour autant des prix de revient acceptables, permettrait à des clients ayant un meilleur pouvoir d’achat de s’approvisionner en produits « made in France ». Pour cela, une réorganisation du prélèvement des cotisations sociales vers le budget de l’Etat est une solution immédiate.
Relancer immédiatement la compétitivité des produits français
Le projet de relance par la TVA sociale, grâce au transfert des cotisations sociales vers le budget de l’Etat que permet le plan TRES, facilite un différentiel positif par rapport aux produits chinois de 19 à 25%, et solutionne les difficultés d’emploi en France et permet de lutter contre la misère de notre pays. Ceci rend nos produits quasiment concurrentiels, bénéficiant en plus d’une meilleure qualité grâce aux conditions techniques requises par la réglementation européenne.
Il ne faut pas toujours se plaindre ; il faut mettre en place les conditions qui permettent à nos produits faits en France d’être proches des prix chinois, et concurrentiels par rapport à leur qualité. Mais attention, pas de demi-mesures en la matière.
Cette application du plan TRES devrait permettre de réduire de moitié nos achats avec la Chine, rétablissant ainsi notre balance commerciale avec ce pays ; il en sera de même avec tous les pays de l’Asie. Et il en découlera l’accroissement de notre production intérieure.
Là où il y a des problèmes, il faut les résoudre à la source ; c’est tout l’intérêt du plan TRES.
Le meilleur pouvoir d’achat, c’est plus d’achats français rendus concurrentiels, et plus d’emplois. C’est toute la philosophie du plan TRES.
Comme le précise Michel Leclerc, dans un esprit tout Confucéen :”Le dire : c’est bien. L’écrire : c’est encore mieux. Le faire : ce sera demain avec le plan TRES.”