Taxer le travail est une aberration. Les cotisations actuelles sur les salaires sont le poison du marché du travail, de la productivité et de la libre concurrence. Chaque pays a des taux différents, y compris en Europe, facilitant la concurrence entre les peuples, mettant à mal les droits de l’homme.
Protégeons les droits de l’homme
Les échanges entre les nations sont faussés par ces différences de taux de cotisations entre les nations. L’incidence du financement des cotisations sociales conduit à 6 millions de chômeurs en France et à 50 millions en Europe.
Le coût de ce chômage de masse est monumental : 1 000 milliards d’euros par an, pour toute l’Europe.
Michel Leclerc : “Le président Charles de Gaulle l’avait parfaitement compris dès 1968 et avait pris la décision avec les Lois du 1er décembre 1968 et de 1969 de supprimer les taxes sur le travail. Il faut revenir à cette politique par le plan TRES“
Le plan TRES est le seul contrepoison au chômage
Il y a un élément simple pour réduire le chômage et qui fait rarement débat dans les cercles politiques : il faut des commandes, il faut du travail.
Pour avoir les commandes, il n’y a que trois acteurs :
- la consommation intérieure ;
- les exportations ;
- et la formation.
Pour une forte consommation intérieure, il faut un fort pouvoir d’achat. Pour accroître nos exportations, il faut être compétitif, c’est la loi du marché.
En ce qui concerne la formation professionnelle, il faut une vraie formation, dans de vrais collèges techniques et commerciaux pour adultes, tant sur le plan théorique que pratique.
Pour cela il faut des moyens : c’est le plan TRES.
Le plan TRES, de transfert des cotisations vers le budget de l’Etat, appliqué en France, tous les autres pays européens suivront dans la même voie.
Et enfin, on pourra faire une grande croix sur le graphique des charges dans les différents pays. Ce sera une véritable révolution mondiale et, en France, on pourra remplacer définitivement le mot impossible par : “tout est possible“.
La volonté, le courage, le désir d’agir, sans s’occuper des intérêts personnels ou politiques, sont à ce jour, plus que jamais les valeurs des hommes d’État.
C’est appliquer les droits de l’homme au lieu de s’en servir
Oui, il faut changer totalement le financement des cotisations sociales. C’est une question de survie pour notre économie nationale et internationale.
Michel Leclerc : “Rien, plus rien ne sera possible dans notre pays sans cette réforme.”
Osons faire ce que le Général de Gaulle a fait en 1968 et 1969 avec succès.