L’Ukraine, depuis trois ans, vit dans la terreur. Certains, dont la France, ont pensé raisonner Monsieur Poutine : quelle erreur de jugement.
C’est du passé, me direz-vous, mais tout de même avec un million de morts et trois fois plus de blessés.
Une erreur doit être réparée et seul, l’envoi rapide des 150 bataillons Français, Allemands, Anglais et Suédois, permettra de faire face à la nouvelle offensive des Russes en Ukraine. Il faut que d’ici une semaine, ils soient sur place avec tout leur armement.
La Russie tente, aujourd’hui, d’embaucher des mercenaires chinois et, en Chine, il y a beaucoup de jeunes qui n’ont même pas de nom suite à la politique d’un seul enfant par ménage.
Les bataillons que je demande d’être rapidement en Ukraine sont des soldats de métier et désireux de défendre la liberté de l’Europe.
D’autres pays vont encore se joindre au premier envoi de ces contingents. Ils viendront renforcer ceux déjà en place. Ce seront des contingents qui viendront de là où personne ne s’en doutait. Ce sera de l’Australie, du Japon, de la Corée de Sud, du Canada.
Faire la guerre à petit pas n’est pas la bonne solution. Seule, la force fera plier Poutine et cela aurait dû être fait il y a de cela deux ans. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Les Ukrainiens sont admirables. Ne laissons pas cette guerre dégénérer. Pour l’Europe d’aujourd’hui, on peut y apporter entre 300 et 400 000 soldats de métier pour frapper fort et vite. Cela fera réfléchir très vite Monsieur Poutine.
On ne peut pas laisser l’Ukraine se faire massacrer.
Il ne faut pas avoir peur
Sur le plan économique, la Chine produit moins cher, de l’ordre de 60% et parfois 100%, que les coûts de l’Europe.
Pour beaucoup, cela provient d’un problème social et sanitaire appliqué en Europe depuis la 2ème guerre mondiale.
En s’attaquant aux causes, on mettra fin à ce système et l’on aura des Européens en pleine forme.
C’est un système révolutionnaire que chacun possèdera comme on possède un radiateur ou un climatiseur.
N’ayez pas peur. L’homme est une belle machine. Il faut simplement faire en sorte que les dérives de la nature soient évitées. Il y a celles que l’on connaît et celles que l’on ne connaît pas encore.
Certes, il va falloir 20 ans pour mettre tout cela en place mais qu’est-ce que c’’est 20 ans ? C’est très peu de temps. Et cette durée peut être de plus en plus courte si nos dirigeants politiques évitent d’être des incrédules.
