Rétablir en hiver en lieu fermé les fonctions du soleil et une régulation des excès de la nature, sera la solution d’un nouveau monde.
La chloroquine est la solution pour neutraliser les effets du virus mais ne le tue pas. Ce produit est fiable à 80 % comme tous les produits chimiques. Ce n’est pas un placebo, c’est une solution.
Ce que je propose, ce n’est pas de soigner mais d’éviter les virus et les grandes maladies telles que le cancer, sans risques, sans effets secondaires.
Tout ce que proposent les éminents professeurs reste dans le monde médical. Ce que je propose relève de la technique pure et simple, que ce soit par des régulateurs, que ce soit par l’utilisation de l’oxygène chauffé à 40°, que ce soit les multiples barrages et embuscades qu’il nous faut mettre en place.
Je ne soigne pas les effets des maladies, je les empêche d’exister, je veux les éviter. Et quand par malheur, on en est atteint, je veux les empêcher de se développer. C’est tout simplement l’échelon en amont des méthodes utilisées.
Si l’on ne peut plus boire l’eau d’une rivière, c’est simplement parce qu’on n’a pas empêché la pollution en amont. Il est préférable de boire de l’eau de source mais faut-il encore qu’elle ne soit pas polluée par la multitude de produits chimiques qu’on déverse sur les terres. Ne pourrait-on pas anticiper cette pollution ?
Il en est de même pour tous les dangers de la nature qui provoquent le cancer et qui font naître les virus. Essayons de les détruire avant qu’ils ne naissent.
L’homme a inventé des choses merveilleuses et ce n’est qu’avec la simplicité que nous pourrons barrer la route à tout ce qui veut le détruire. Et nous savons le faire, c’est ce qui est le plus grave !… Evidemment, cela rapporte moins à une certaine catégorie de gens qui veulent spéculer sur le mal.
Les grands professeurs donnent des solutions simples pour soigner quand on n’a pas barré la route. C’est très bien, mais même pour le virus, on peut l’arrêter en amont de l’infection tout simplement en aspirant de l’oxygène ou de l’air à 40 °, les lampes à ultraviolets ne serviront qu’à tuer le virus.
Il suffit de s’équiper en conséquence et je dirai même que les millions de Français et de personnes qui prennent tous les jours leur voiture pourraient la transformer en barrage au virus en la chauffant à 40 ° quelques heures et en l’équipant de lampes à ultrviolets. Qu’est-ce que cela peut coûter ? Rien, rien de plus pour un tel résultat.
Messieurs les Professeurs, j’admire votre courage, et votre parole compte beaucoup plus que la mienne. Je vous demande simplement de réfléchir qu’en chauffant on détruit un virus, qu’en régulant les variations de pressions atmosphériques, on neutralise la naissance des cancers, sans oublier que pour tuer les bactéries, il faut du froid.