On est responsable de sa santé, de sa vie, de ses capacités, de son capital énergie.
Briser un de ces maillons d’ancrage… et le bateau part à la dérive.
On est responsable de sa santé en ne se protégeant pas des forces invisibles, en ne défendant pas son système immunitaire.
On est responsable de sa vie en restant inerte face aux puissances qui la dégradent dès la naissance.
On est responsable de son pays, de sa capacité à apporter les outils nécessaires au travail, en refusant le transfert de tout ce qui neutralise le travail.
On se doit de mutualiser nos moyens pour construire une force par nos échanges, par notre pouvoir d’achat, pour notre bien-être et pour une protection.
On est responsable de la planète qui nous accueille dans un paradis, sous influences naturelles, terrestres et célestes. Nous sommes responsables du réchauffement climatique et de la pollution.
On est sur la Terre pour l’entretenir et non la détruire, par manque de volonté, par un certain laisser-faire.
De toutes ces responsabilités, nous avons les solutions. Ne pas les mettre en application devient de la culpabilité.
Il faut donc se reprendre en main.
Dans un passé lointain, on faisait des échanges de produits : c’était du troc. Puis l’on a créé la monnaie qui était un moyen plus facile de diversifier les échanges. Mais, durant des siècles, on a toujours eu la contrepartie de la monnaie en garantie. C’est ainsi qu’à la Banque de France, il y avait toujours l’équivalent en or de la monnaie que l’on frappait.
Aujourd’hui, l’or a disparu et l’on a imprimé du papier sans garantie.
Et encore à ce jour, on se sert de ce papier mais il est remplacé par un clic sur ordinateur : il n’y a plus d’échanges. Et avec ce clic, on a créé la dette.
Sommes-nous responsables ? Bien sûr que oui. Les dirigeants successifs ont fait n’importe quoi sans apporter la moindre garantie. Et l’on s’étonne aujourd’hui d’être coupable, et encore plus grave, coupable envers nos enfants qui vont devoir, tôt ou tard, plonger dans le précipice de la dette.
De la même manière que nous sommes coupables de notre vie, de notre pays et de la planète, nous sommes aussi coupables d’avoir trahi l’évidence. Et aujourd’hui, cette trahison fait que nous ne sommes même plus capables de nous protéger et, cependant, ce serait si simple si on le voulait, en commençant par la vie, avec la production de l’oxygène nécessaire : par la mise en culture, le reboisement ou l’élevage d’une partie de la Terre, ce qui mettra fin à la progression des déserts.
Notre responsabilité est lourde dans tous ces pays où le désert progresse.
Pour y parvenir, il faut de l’argent c’est pourquoi j’ai proposé l’or rouge pour remplir les caisses des Etats.